Les triples appareils photo sont en train de devenir la norme au dos des smartphones, et ça ne devrait pas s’arrêter là. Alors qu’il y a déjà des terminaux avec quatre ou cinq modules, pourquoi pas 16 ?

Ce n’est pas une blague. La start-up Light, qui s’est fait connaître en 2015 avec son appareil photo doté de 16 capteurs et autant d’objectifs, a noué des partenariats avec Sony et Xiaomi.

Light va travailler avec Sony pour faire en sorte que son système de traitement de l’image prenne en compte l’assortiment d’appareils photo. À la fin, les applications mobiles pourront tirer parti de ces multiples capteurs pour une meilleure qualité d’image, des fonctions 3D, le changement de la mise au point a posteriori… Il y a moins de détails sur le partenariat avec Xiaomi, mais on peut s’attendre à la même chose. Le Nokia 9 PureView aux cinq caméras présenté au MWC embarque d'ailleurs la technologie de Light.

Apple a acquis en 2015 LiNX, une start-up spécialisée dans la conception d’appareils photo à multiples capteurs. Depuis, certains iPhone bénéficient d’un double appareil photo.

Sosh fait désormais des promotions aussi souvent que ses concurrents. À peine une remise est-elle terminée qu’une autre commence. Voici donc de nouveau le forfait 50 Go à 9,99 €/mois pendant un an, au lieu de 24,99 €/mois. La carte SIM coûte 5 €. L’offre, qui est réservée aux nouveaux clients comme d’habitude, est valable jusqu’au 13 mars.

Pour rappel, le forfait comprend notamment 50 Go et les appels SMS/MMS/illimités en France comme en Europe. Il est compatible avec l’Apple Watch cellulaire (option gratuite pendant trois mois puis 5 €/mois).

SFR RED et B&You proposent quant à eux 40 Go (dont 4 Go en Europe) pour 10 €/mois, et ce sans limite de durée (carte SIM à 10 €). Quant à Free Mobile, on a 50 Go (4 Go en Europe) pour 8,99 €/mois, mais le forfait devient au bout d’un an un forfait 100 Go à 19,99 €/mois.

Aussitôt arrivée, aussitôt partie. L’option pour configurer Apple Pay qui était apparue hier dans l’application de La Banque Postale n’est déjà plus disponible.

Pour faire disparaître cette option apparue prématurément — La Banque Postale n’a pas encore communiqué officiellement sur la prise en charge du service et il n’était pas possible d’aller jusqu’au bout de la configuration —, la banque a carrément retiré tout le menu « Mes cartes » qui contient d’autres options, comme celles pour relever les plafonds de sa carte. Tant pis si vous vous servez de ces options, vous devrez vous en passer pour le moment.

La compatibilité de La Banque Postale avec Apple Pay pourrait arriver à peu près en même temps que le lancement de la banque en ligne Ma French Bank au printemps.

Mise à jour à 12h25 : Interrogée par nos soins, La Banque Postale a simplement déclaré qu'Apple Pay allait être disponible « prochainement ». Nathalie Collin, directrice générale adjointe du groupe La Poste, s’était montrée un peu plus précise au micro de RMC le 23 février : « Apple Pay à La Banque Postale c’est en cours, c’est quelque chose qui est absolument imminent. » Elle avait par ailleurs indiqué que Ma French Bank allait ouvrir cet été, alors qu'un lancement était prévu au printemps au départ.

La banque vient d'ailleurs de publier un message sur Twitter annonçant la disponibilité prochaine du service.

On peut trouver des boîtiers Cellebrite de déverrouillage d’iPhone sur eBay, à des prix allant de 100 $ à 1 000 $ pièce. Une affaire, sachant que ces appareils sont vendus « prix catalogue » à 6 000 $… L’entreprise israélienne, qui fait affaire avec les autorités de police un peu partout dans le monde et en particulier aux États-Unis, n’est pas franchement ravie de voir éclore ce marché de seconde main, explique Forbes.

Il y a trois ans environ, les activités de Cellebrite ont connu une certaine médiatisation, et pour cause : la technologie développée par cette société permet de fouiller dans les appareils iOS verrouillés, ainsi que dans de nombreux smartphones du marché (lire : Voilà à quoi ressemble une extraction de données d'un iPhone par Cellebrite). Cela a fait la fortune de l’entreprise, qui a vendu des millions de dollars de machines aux forces de l’ordre.

Mais Cellebrite ne s’attendait pas à ce que certaines unités se retrouvent mises à l’encan¹. Plutôt que de retourner les boîtiers au constructeur pour les désactiver proprement, les propriétaires les vendent sur eBay sans nécessairement supprimer les données qui trainent à l’intérieur.

Ça n’a pas manqué : un chercheur en sécurité, Matthew Hickey, a mis la main sur une dizaine de ces appareils et a pu en extraire de précieuses informations. Liste et nature des appareils déverrouillés (dont les numéros IMEI), la date de la fouille, et le type de données récupérées. Il aurait même pu aller plus loin et siphonner des listes de contacts et des conversations de messageries…

Mis entre de mauvaises mains, ces boîtiers d’occasion pourraient servir de coffres à données pour toutes sortes d’opérations délictueuses. À l’inverse, ces appareils sont aussi une fenêtre sur les failles exploitées par Cellebrite pour pénétrer par effraction dans les smartphones : les constructeurs, Apple en tête, pourraient en tirer des informations intéressantes et boucher, le cas échéant, ces vulnérabilités.

Que faire de ces vieux boîtiers ? Pourquoi pas y installer Doom…

Avant que l’iPhone n’entre en scène, les constructeurs de téléphone ont multiplié les formes et les designs, parfois à la frontière de l’absurde (lire : À quoi ressemblaient les smartphones avant l'iPhone de 2007 ?). L’histoire repasse les plats : entre les appareils pliables, les trous dans l’écran et autres tiroirs mécaniques, on est manifestement entré dans un nouvel âge d’or du nawak et c’est tant mieux.

Samsung y participe très activement. On a ainsi vu le Galaxy Fold avec son pli et le Galaxy S10 avec sa « bulle », mais le constructeur n’a pas dit son dernier mot. Selon le toujours bien renseigné @OnLeaks, Samsung aurait l’intention de combiner deux technologies peu communes dans son futur Galaxy A90.

Comme dans le Mi MIX 3 de Xiaomi, l’appareil photo de ce prochain milieu de gamme se cacherait dans un tiroir. Mais ça n’est pas tout : il sera aussi possible de tourner le bloc de capteurs sur lui-même, en position arrière ou selfie ! Oppo s’était lancé dans ce design étrange avec le N1, en 2013.

Ce système a deux avantages : il laisse davantage de place à l’écran, et il permet d’économiser sur le nombre d’appareils photo intégrés au smartphone. Il suffit d’un jeu de capteurs, qui fera tout le travail dans un sens ou dans un autre.

Cette technologie entre parfaitement dans la stratégie établie l’an dernier, voulant que Samsung se montre plus agressif sur le milieu de gamme pour rester compétitif face à la concurrence chinoise. C’est d’ailleurs ce qui a poussé le groupe à lancer durant le MWC un Galaxy A50 équipé de trois modules photo au dos (lire : MWC 2019 : un triple appareil photo sinon rien).

Du côté de Lenovo, on s’active également pour relancer la grande machine nostalgique. Le constructeur prépare en effet activement la modernisation du RAZR, le fameux téléphone à clapet de Motorola. Aux dernières nouvelles d’il y a quelques jours, ce reboot d’un énorme classique de la téléphonie embrasserait la dernière technologie à la mode, à savoir un écran pliable.

L’information a depuis été confirmée à Engadget par Dan Dery, vice-président de Motorola en charge des produits. L’écran sera bien plié en deux à l’intérieur du smartphone fermé, mais de ce qu’on en comprend le constructeur n’a pas l’intention d’ajouter un second écran comme chez Samsung ; le design imaginé par Huawei pour le Mate X (un écran plié à l’extérieur) n’a pas non plus sa faveur pour des raisons de résistance et de durabilité.

Motorola n’est pas encore prêt à dévoiler ce nouveau RAZR, qui pourrait être lancé dans la foulée des Galaxy Fold et Mate X, c’est à dire au printemps ou cet été.

Présentée pour la première fois en avril 2017, l’enceinte intelligente d’Orange tarde à sortir. Prévue pour fin 2018 puis pour début 2019, Djingo est finalement repoussée à avril, selon La Lettre A. C’est la grande réorganisation de l’opérateur qui aurait contribué à retarder la sortie.

Djingo, ce n’est pas seulement le nom de la petite enceinte, c’est aussi le nom de l’assistant qui est dedans. Un assistant qu’Orange va déployer dans d’autres produits, dont Orange Bank et son application TV, et qui doit devenir un écosystème grâce à des API ouvertes et des partenariats (Deezer, franceinfo et Météo-France sont les premiers noms annoncés).

Au cas où cet écosystème ne prendrait pas, l’enceinte sera également compatible avec Alexa… On sait d’ores et déjà qu’elle coûtera à partir de 49 € pour les clients d’Orange.

Depuis quelques heures, un mot-clé pour le moins curieux apparait dans les tendances de l’App Store : YouPorn. Visiblement, de nombreux utilisateurs d’iPhone sont partis à la chasse à cette app, en se cassant le nez. Car jamais le célèbre site de contenus olé-olé pour adultes ne s’est vu ouvrir la porte de la boutique d’applications d’Apple… Et pour cause, le porno y est interdit.

L’origine de cette histoire réside dans un communiqué de presse du site qui joue habilement sur la confusion entre application native et web app. On y apprend que YouPorn a amélioré « l’expérience » de son application… web. On l’installe non pas en passant par l’App Store (ou le Play Store d’Android), mais depuis Safari.

N’écoutant que ce courage qui nous honore et fait la fierté de la profession, nous nous sommes lancés dans cette nouvelle « expérience » pour constater qu’effectivement, la web app de YouPorn ressemble à une application classique (l’interface de Safari n’est plus de la partie), et la navigation s’est révélée fluide. 💦