Le site Apple.pro a publié de nouvelles images de ce qui serait un iPod nano 7G avec appareil photos. Selon MicGadget, il s'agit bien d'un prototype, mais d'un prototype affublé de problèmes fonctionnels majeurs qui pourraient expliquer pourquoi ce type d'iPod nano est semble-t-il en développement depuis plus d'un an, mais n'a pas encore vu le jour.
Ce modèle précis serait un prototype vieux de deux mois disposant d'un capteur 1,3 MP. En raison d'un dysfonctionnement de son optique, il ne prendrait rien d'autre que des photos sur-exposées. Une version avec un capteur 2 MP a aussi été testée, mais elle souffrirait quant à elle d'une qualité insatisfaisante, les photos produites manquant de contraste.
Selon le site chinois cependant, Apple serait en train de travailler à régler le problème, et serait déjà parvenue à développer l'interface utilisateur permettant d'utiliser ce capteur avec un écran carré d'une diagonale de 1,54". Cet iPod nano 7G pourrait être commercialisé à la fin du premier trimestre ou au début du deuxième trimestre 2012, rompant ainsi son rythme annuel bien établi.
Samsung a dû se fendre d'un communiqué de presse pour annoncer que le troisième modèle de sa gamme Galaxy S ne serait pas présenté au Mobile World Congress, qui aura lieu à Barcelone à la fin février. Si la firme coréenne présentera plusieurs nouveautés à cette occasion, elle attendra un événement séparé pour présenter son nouveau smartphone étendard.
Samsung tient à réduire le délai entre l'annonce et la commercialisation de certains de ses produits : le Galaxy S III sera présenté d'ici l'été, et mis sur le marché dans la foulée. La firme coréenne devrait profiter du MWC pour présenter un nouveau modèle de Galaxy Tab et peut-être un nouveau Windows Phone, mais aussi et surtout pour continuer à promouvoir son Galaxy Note, cet hybride de tablette et de smartphone auquel elle devrait consacrer une publicité lors de la mi-temps du Super Bowl.
L'espace abonné de Free Mobile a été mis à jour. Au programme cette fois, l'ajout du suivi de consommation qui permet de savoir en un clin d'œil le nombre d'heures passées au téléphone, le nombre de SMS et MMS envoyés et la quantité de données échangée. C'est particulièrement utile pour connaître le montant du hors forfait pendant le mois en cours, mais on n'a alors aucune information précise, comme les numéros appelés.
Free a promis que l'on pourrait gérer facilement plusieurs comptes dans l'espace abonné ou encore la possibilité de bloquer toute consommation de hors-forfait. Pour le moment, ces fonctions ne sont pas actives, il faudra certainement attendre une future mise à jour.
En attendant, Free a aussi mis à jour certaines de ses cartes SIM. Si c'est votre cas, un message vous demandera de rallumer le terminal pour terminer la mise à jour. Les nouveautés de ce côté restent pour le moment inconnues.
[MàJ AZ @ 21h35] Free continue de mettre progressivement à jour son espace client. La page permettant de gérer les options, notamment celle permettant d'utiliser un BlackBerry sur le réseau Free Mobile, est désormais en ligne.
Merci Arthur.
À ceux qui s'inquétaient de voir apparaître du hors-forfait dans leur suivi conso sans pour autant payer plus cher, Free précise désormais que la colonne « Voix hors forfait » inclut aussi les appels gratuits vers la messagerie.
Depuis la présentation des offres de Free Mobile, ses concurrents ont souvent essayé de répondre, mais ils se sont attaqués surtout au format tout illimité à 19,99 € par mois. Prixtel, opérateur virtuel construit sur le réseau de SFR, a décidé de son côté de répondre au forfait à 2 € par mois du nouvel entrant.
Son offre mobile Modulo qui varie en fonction de votre consommation débute ainsi à 2 € par mois et à ce prix, vous aurez également 60 minutes de voix et 60 SMS. L'offre varie ensuite en fonction du nombre de minutes et de SMS utilisés, sachant que l'opérateur ajoute aussi un accès à Internet et les SMS et MMS illimités à partir de 12,90 € par mois.
PushMyNews est une de ces nombreuses applications faisant office d'agrégateurs de flux : on s'abonne à une catégorie d'actualités (sports, politique, high-tech), et elle propose automatiquement des articles pertinents provenant de sources diverses [1.2 - 3,1 Mo - Gratuit]. PushMyNews va cependant un peu plus loin, en offrant de nombreuses options de personnalisation et des contrôles un peu plus fins que la moyenne.
Lorsqu'un utilisateur crée un compte, il peut proposer de nouvelles sources d'informations : après validation, celle-ci sera ajoutée au référentiel. L'utilisateur peut aussi créer ses propres catégories, en ajoutant ses propres flux : PushMyNews vient ici chasser sur les terres des lecteurs RSS comme Pulse. L'application propose enfin des options de veille qui ne sont pas sans rappeler Google Alerts : choix d'une source d'information, mais aussi choix d'un mot ou d'une expression à observer.
PushMyNews possède évidemment un système de notifications push, mais aussi un mode « turbo » sans images pour les conditions de connexion difficiles.
À l'occasion de la conférence D: Dive Into Media, Neil Young a été interviewé par Walt Mossberg et Peter Kafka de AllThingsD. Le chanteur s'est notamment exprimé sur l'avenir de l'industrie musicale et ses rapports avec Internet : « je vois l'Internet comme étant la nouvelle radio […] la radio, c'est fini […] le piratage est la nouvelle radio, c'est comme ça que la musique circule. »
Young rappelle que la circulation libre de la musique est un élément crucial pour l'industrie — on l'appelle aujourd'hui piratage, elle s'appelait autrefois radio, avec in fine le même objectif : sensibiliser l'auditeur et provoquer l'acte d'achat. Il y a certes des différences majeures, qui expliquent le malaise face au piratage et par synecdoque face à Internet : la diffusion radiophonique est en partie financée par la publicité, une formule dont seule l'offre légale de streaming s'approche ; le piratage est un enregistrement de la musique, alors qu'il fallait il y a quelques années une cassette pour pirater les morceaux diffusés à la radio.
La thèse de Young ne manque pas d'intérêt : en traçant ce parallèle, le chanteur canadien recentre le débat sur la loi de l'offre et de la demande et sur la question de la qualité de la musique. De la même manière que la radio (et la cassette usée à force de lectures et de rembobinages) offre un signal sonore fortement dégradé, la majorité des morceaux disponibles sur les divers canaux de piratages sont encodés en MP3 de qualité plus que passable. Mais alors que le CD offrait une véritable alternative à la fois en matière de qualité et de facilité d'utilisation, l'offre légale dématérialisée n'est aujourd'hui pas suffisamment attractive pour favoriser l'acte d'achat : pourquoi acheter un AAC 256 sur l'iTunes Store en quatre clics si on trouve et récupère un MP3 320 de manière totalement illégale en trois clics ?
Neil Young pense qu'il existe un véritable marché pour une offre de qualité, seul terrain sur lequel il faudrait se battre face au piratage — puisqu'on ne pourra pas l'éradiquer, mais mieux, qu'il est partie prenante de l'industrie musicale, il faut lui opposer une alternative, fournir une progression logique vers l'achat (« le CD est mort, mais pas l'album »). Et cette progression logique, c'est celle de la création d'un format retranscrivant plus fidèlement les masters en sortie du studio : du master 192 kHz / 24-bits, le CD est conformé à 44,1 kHz / 16-bits, et les différents formats lossless et lossy dégradent encore un peu plus le son. Young explique ainsi que le fichier MP3 moyen n'inclut plus que 5 % des données originales présentes sur le master. Qobuz, parmi d'autres distributeurs, propose un format Studio Master 192 kHz / 24-bits, mais cette offre reste minoritaire — alors que Neil Young appelle « un homme riche » à la démocratiser.
Cet homme riche aurait pu être Steve Jobs, que le chanteur connaissait : « Steve Jobs était un pionnier de la musique dématérialisée et son héritage est énorme. Mais lorsqu'il rentrait chez lui, il écoutait sa musique sur vinyle. Et vous pouvez penser que s'il avait vécu suffisamment longtemps, il aurait fait ce que j'essaye de faire aujourd'hui. » Selon Young, Apple était en train de travailler sur un magasin de musique de haute qualité, ce que confirment plusieurs bruits de couloir qui ont circulé en 2010 et en 2011. À l'heure actuelle cependant, la firme de Cupertino a appuyé sur le bouton pause de son projet iTunes HQ.
Un lecteur a trouvé à l'Apple Store Opéra, à Paris, un petit panneau indiquant que la taxe sur la copie privée pouvait être remboursée suite à sa suppression temporaire. Depuis le début de l'année, les tablettes échappent à la rémunération sur la copie privée et Apple a baissé ses prix le 11 janvier (lire : Apple conteste la copie privée pour l'iPad).
Si vous avez acheté le produit entre le premier et le 10 janvier, Apple vous a facturé à tort la rémunération et vous pouvez vous la faire rembourser. La plaquette indique qu'il faut aller voir un Spécialiste, mais on imagine qu'un appel peut également faire l'affaire si vous avez acheté l'iPad sur l'Apple Store en ligne.
Pour l'heure, Apple ne propose de remboursement que depuis la suspension de la rémunération pour les tablettes. En 2011, l'entreprise a prélevé la taxe sur l'iPad, mais elle ne l'a jamais reversée à l'organisme qui la prend en charge tandis qu'elle conteste devant la justice française l'existence même de cette rémunération (lire : Apple conteste la copie privée pour l'iPad).
À ce jour toutefois, il n'est pas question de rembourser la taxe pour tout achat effectué en 2011 : on imagine qu'Apple attend la décision de la justice avant de décider de la marche à suivre.
Samsung a dû se fendre d'un communiqué de presse pour annoncer que le troisième modèle de sa gamme Galaxy S ne serait pas présenté au Mobile World Congress, qui aura lieu à Barcelone à la fin février. Si la firme coréenne présentera plusieurs nouveautés à cette occasion, elle attendra un événement séparé pour présenter son nouveau smartphone étendard.
