Apple confirme formellement que l’iPad Pro peut avoir un châssis voilé

Mickaël Bazoge |

Des iPad Pro au châssis voilé dès leur sortie de l’emballage ? C’est « normal », a assuré Apple lorsque l’affaire a éclaté quelques jours avant Noël. Dans une réponse à un utilisateur, Dan Riccio a ensuite donné de plus amples explications sur cette étrange affaire qui en a énervé beaucoup. Après tout l’iPad Pro n’est pas spécialement bon marché et on peut légitimement s’attendre à des finitions parfaites.

Apple a formellement confirmé que le châssis de la tablette pouvait présenter des variations dans sa planéité, dans un document du support technique mis en ligne le 4 janvier (uniquement disponible en anglais pour le moment). Le constructeur y décrit le châssis unibody des iPad Pro 2018, qui présente un design rectangulaire avec des angles droits qui contiennent « efficacement » toutes leurs technologies « avancées ».

C’est notamment le cas pour le modèle cellulaire, dont la connexion LTE file jusqu’au Gigabit. De fines bandes verticales font office d’antennes, et « pour la première fois sur un iPad », ces bandes ont fait l’objet d’un processus de production spécifique dit « comoulage » : à haute température, du plastique est injecté dans des canaux précisément formés dans le châssis en aluminium. Ce plastique adhère aux micropores de la surface de la coque.

@MacRumors

Dès que le plastique est refroidi, le châssis au complet est poli avec une machine-outil, ce qui permet une intégration transparente entre le plastique et l’aluminium, et aboutit à un boîtier « unique et robuste ». Ces techniques de production, ainsi qu’un processus d’inspection « rigoureux » permettent à Apple de s’assurer que l’iPad Pro respecte des spécifications « encore plus strictes pour la planéité que les générations précédentes ».

Le document reprend le chiffre qu’avait donné Dan Riccio fin décembre : les caractéristiques de planéité n’autorisent « pas plus de 400 microns » de déviation sur toute la longueur d'un côté. Dit autrement, 0,4 millimètre d’écart pour un châssis dont l’épaisseur est de 5,9 mm. C’est « moins que l’épaisseur de quatre feuilles de papier », relève Apple, mais cela représente tout de même 6,78% de l’épaisseur de la tablette.

Avec son châssis anguleux et la présence d’antennes, l’iPad Pro peut présenter de « légères variations » dans la planéité de l’appareil, qui sont « plus visibles uniquement depuis certains angles de vision, imperceptibles en utilisation normale », assure Apple. Certaines déformations assez spectaculaires ont pourtant circulé sur internet.

«  Ces légères variations n’ont pas d’effet sur la robustesse du boîtier ou le fonctionnement du produit et ne changeront pas avec le temps en cas d’utilisation normale ». Apple rappelle néanmoins qu’il est toujours possible de retourner un produit 14 jours après son achat et qu’il bénéficie d’une garantie constructeur.

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Pops, des tirages vidéos et 3D de Live Photos et clichés en mode Portrait

Stéphane Moussie |

Depuis leurs débuts, les Live Photos m’émerveillent autant qu’elles me frustrent ; leur aspect magique s’évanouit sitôt qu’elles quittent l’écosystème Apple. On peut convertir ces photos animées en GIF, c’est vrai, mais au fond, ce qui m’embête le plus, c’est qu’on ne peut pas les imprimer. Comment les partager à mes grands-parents qui n’ont ni smartphone, ni tablette, ni ordinateur (ne me dîtes pas en achetant un iPhone) ? Au-delà de ça, comment s’assurer de leur pérennité ?

Et pop ! Voilà que tout à coup, je découvre Pops, un service français qui fait des « tirages vidéo » de Live Photos, ainsi que de Snaps, Boomerang et autres clips très brefs.

Exemples de tirages vidéo mis en avant par Pops

Tirages vidéos (Live Photos)

Le terme « vidéo » est un peu tiré par les cheveux, la start-up n’a pas révolutionné l’impression en couchant sur du papier une véritable vidéo, mais il donne une petite idée du résultat. En faisant bouger légèrement la photo de haut en bas, celle-ci s’anime. Les photos imprimées redeviennent ainsi des Live Photo.

Pour obtenir cet effet, Pops exploite une vieille technique, l’impression lenticulaire. « L’idée est d’entrelacer des images entre elles, puis d’imprimer l’image entrelacée au dos de lentilles demi-cylindriques. La convexité de la lentille permet ensuite d’afficher une seule image, et de passer d’une image à une autre quand on bouge le support lenticulaire ce qui crée l’effet de mouvement ou de profondeur 3D », explique Paul-Antoine Campos, le fondateur du service lancé en 2016.

La technique a ses limites, on ne peut pas « imprimer » l’intégralité d’une Live Photo. C’est dans l’application Pops sur iPhone que la sélection de l’extrait d’une seconde (c’est suffisamment long pour garder l’intérêt de la chose) se passe.

Un tirage vidéo que j’ai commandé au format mini

À défaut de pouvoir simuler le tirage vidéo dans l’application — c’est une fonction qui donne du fil à retordre à la petite équipe —, celle-ci indique les problèmes éventuels, comme une vidéo dans la mauvaise orientation ou l’oubli de la sélection de l’extrait. Les tirages vidéo sont disponibles en deux tailles : mini (6 x 11 cm) à 0,99 € l’unité et classic (10 x 14,5 cm) à 2,49 € l’unité. C’est beaucoup plus cher qu’un tirage 10 x 15 traditionnel, on est d’accord, mais c’est aussi beaucoup plus original.

La technique d’impression fait que l’image n’est pas aussi nette que sur un tirage traditionnel. La surface du tirage est finement rainurée pour permettre l’effet de mouvement. Il faut en avoir conscience avant de passer commande : choisissez plutôt des photos à la composition simple et où l’animation est claire. Autrement, l’effet peut être assez brouillon.

Tirages 3D (mode Portrait)

Pops propose aussi des « tirages 3D » dédiés aux photos prises en mode Portrait. L’impression lenticulaire est toujours à l’œuvre, mais elle est utilisée ici pour créer un effet de profondeur (dans ce mode l’iPhone distingue en effet plusieurs plans), tout en conservant le flou à l’arrière-plan.

Sans être autre aussi précis que des tirages traditionnels (il y a comme un léger effet de grain), les tirages 3D sont plus nets que les tirages vidéos. La qualité de l’image statique est tout à fait satisfaisante à distance normale. Quant à l’effet de profondeur, il est bel et bien présent, mais à des degrés divers. De saisissant sur certains clichés, où le sujet est comme à la surface du tirage tandis que l’arrière-plan apparaît vraiment en retrait, il est plus anecdotique sur d’autres. Les prix sont les mêmes que les tirages vidéo, et il y a en plus un format 18,5 x 29 cm à 16,99 €.

Tirage 3D au format classic

Sur les sept tirages 3D commandés pour cet article, trois comportent un petit effet de bavure à côté de manches ou de cheveux. Ça ne gâche pas l’intégralité de la photo, mais une fois qu’on l’a remarqué, c’est un défaut qui fait tache. « Pour créer la 3D nous sommes obligés de recréer ce qui est derrière les objets de l’image. Notre algorithme de complétion d’images est en perpétuelle amélioration et il peut arriver qu’il y ait ce phénomène d’images qui “bavent” », indique Paul-Antoine Campos, qui promet pour très bientôt une mise à jour de l’algorithme corrigeant cela.

La start-up parisienne planche aussi sur une mise à jour majeure de l’application iPhone, passage obligé pour commander, qui améliorera plusieurs points critiques. Ce sera le cas de l’étape de connexion, qui sera mieux intégrée au parcours client (il faut se connecter ou se créer un compte dès l’ouverture de l’app, actuellement), ainsi que du panier d’achat, qui permettra enfin de commander en même temps différents types de tirages (oui, il faut faire en ce moment des commandes séparées si vous voulez des tirages vidéos et 3D, et donc payer deux fois les frais de port). Il y a aussi de nombreux bugs à corriger, même s’il y a du mieux depuis mon premier essai début décembre. Une version Android est également prévue pour bientôt.

Que ce soit sur le plan de l’impression ou de l’application, la marge de progrès de Pops est donc assez importante. Malgré ces réserves, je conseille le service — qui n’est pas unique en son genre, mais qui est apparemment le plus accessible et le mieux conçu. Si vous hésitez, vous pouvez toujours commander une poignée de photos seulement pour juger par vous-même.

J’ai fait l’essai à Noël : les tirages vidéos et 3D font leur effet. Ils ont surpris et amusé les personnes auxquelles ils étaient destinés, et attiré la curiosité des autres. Ce qu’on perd en qualité d’impression pure, on le gagne en fun. C’est tout ce qui fait le miel de Pops.

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Netatmo offre 120 € de remise sur un HomePod… et même un HomePod gratuit

Mickaël Bazoge |

Le jour où on trouvera un HomePod en cadeau Bonux dans un paquet de lessive n’est pas pour demain, ni même pour la semaine prochaine. À l’inverse de Google et d’Amazon qui multiplient les promotions leur permettant d’écouler des enceintes Home et Alexa à tour de bras, Apple ne pratique pas une généreuse politique d’opérations spéciales. Pour une bonne raison : le HomePod coûte tout de même 350 €.

Mais à l’occasion, et peut-être parce que les ventes ont du mal à suivre, on peut trouver l’enceinte à prix cassé. C’est le cas actuellement aux États-Unis chez Best Buy, où l’appareil coûte 250 $ seulement. Plus près de nous, les promotions pratiquées par la Fnac ou Boulanger permettent de gratter quelques dizaines d’euros (lire : Le HomePod encore à 315 € au lieu de 349 €).

Les soldes d’hiver, qui débutent le 9 janvier, seront peut-être l’occasion de faire bonnes affaires sur le HomePod. L’enceinte est également en passe de devenir la carotte de prédilection pour les fabricants de produits domotiques : depuis début décembre, Eve Systems propose une réduction de 50% sur le HomePod pour l’achat d’un minimum de 399 € d’appareils connectés pour la maison (ou une Apple TV gratuite).

Netatmo a lancé une opération similaire : contre l’achat d’un pack domotique, on peut économiser 120 € sur l’enceinte… voire se la faire offrir tout simplement. Le pack Chauffage intelligent, qui comprend un thermostat et trois têtes thermostatiques, est proposé à 649 € ; le HomePod est alors proposé avec un rabais de 120 €. Le pack Maison intelligente est beaucoup plus cher (1 199 €), mais on repart avec quasiment tout le catalogue de Netatmo… et une enceinte gratuite.

Cette offre est valable jusqu’au 31 mars dans la limite des stocks disponibles.

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Amazon : plus de 100 millions d’appareils Alexa ont été vendus

Mickaël Bazoge |

Si le CES ouvrira ses portes la semaine prochaine au grand public, c’est dès ce week-end que nous connaîtrons le gros des nouveautés concoctées par les fabricants de tout poil. Il y aura des choses bizarres comme toujours, mais aussi des produits excitants.

Cette horloge murale est compatible Alexa.

Ce qui est à peu près certain, c’est que les produits connectés pour la maison seront cette année encore les vedettes du salon de Las Vegas. Et Amazon entend bien laisser sa marque. Certes, plus discrètement que Google qui a placardé des « Hey Google » partout sur le strip ! Mais le promoteur d’Alexa a voulu frapper l’imaginaire en donnant enfin un chiffre.

Ce four à micro-ondes aussi.

Il s’est vendu plus de 100 millions d’appareils compatibles Alexa depuis le lancement des premières enceintes Echo fin 2014, a révélé à The Verge Dave Limp, le vice-président d’Amazon aux appareils et services. Alexa est intégrée dans plus de 150 produits différents (dont une centaine lancés l’an dernier qui ne proviennent pas directement d’Amazon), tandis que 28 000 appareils domotiques peuvent travailler avec l’assistant. En tout, la galaxie d’Alexa compte plus de 4 500 constructeurs.

Le QC35 II de Bose intègre un bouton pour convoquer un assistant. Et pourquoi pas Alexa.

Les derniers chiffres connus concernant la concurrence font état de 5 000 appareils compatibles avec Google Assistant (c’était en mai dernier, cela a pu augmenter depuis). Quant à HomeKit, on en est à plus de 200 seulement.

Cette imprimante OfficeJet Pro 8710 de HP travaille avec Alexa.

Évidemment, sur le tas, les appareils Alexa ne font pas tous preuve du même intérêt. L’écosystème d’Amazon est vaste, cela va de la tablette au téléviseur, en passant par la serrure connectée, casque audio, et même… le poisson chantant. Et le fabricant n’est pas le dernier à inonder le marché en produits compatibles : en septembre dernier, au milieu de nouvelles enceintes et de prises connectées, Amazon dévoilait une horloge murale et… un four micro-ondes, tous compatibles Alexa.

Apple a un argument de poids pour répliquer à Amazon : Siri est intégré en standard sur les centaines de millions d’appareils iOS, macOS, watchOS et tvOS vendus chaque année. Les quelque 100 millions de terminaux Alexa annoncés par Amazon font pâle figure à côté, et ce n’est pas demain la veille qu’Apple permettra à l’utilisateur de choisir Alexa comme assistant par défaut (malgré les bonnes relations entre les deux entreprises).

Le système d’arrosage de Rachio peut être contrôlé avec Alexa.

Sur Android, les choses sont plus souples, mais là aussi les utilisateurs de smartphones vont préférer s’en tenir à Google Assistant. Le géant du commerce en ligne a en tête une autre stratégie, et une autre cible : être là où on peut parler à voix haute. Dans sa voiture, sa cuisine, son salon, et même sur son lieu de travail même si c’est encore assez marginal.

Demandez la vitesse du vent à cet anémomètre Netatmo compatible Alexa.

Amazon veut construire une plateforme d’« informatique ambiante » (« ambient computing »), où l’assistant est toujours disponible autour de soi, sans qu’on l’ait nécessairement dans la main comme c’est le cas du smartphone. On pourrait opposer à cette vision le fait que l’utilisateur d’iPhone a (presque) toujours son appareil pas loin et qu’il suffit de dire « Dis Siri » pour que l’assistant embraie.

Pas la peine de se lever pour rafraîchir l’atmosphère chez soi : réglez ce climatiseur Kenmore avec Alexa.

Mais Amazon joue la carte de la diversité des appareils Alexa, comme on l’a vu. Dave Limp explique que tant que les constructeurs tiers respectent la politique d’Amazon en matière de respect de la vie privée et qu’ils n’exploitent pas indument les données, les consommateurs n’en voudront pas à Alexa s’ils achètent un appareil sans intérêt.

Plus besoin de se casser le dos pour nettoyer son chez-soi, avec ce robot-aspirateur Samsung compatible Alexa.

Contrairement à Apple qui regimbe à ouvrir Siri à des tiers, Amazon pratique une politique d’ouverture à tout crin. Pas question de forcer les constructeurs à brider d’autres assistants qu’Alexa dans leurs produits. Et le distributeur n’a pas peur de la concurrence, bien au contraire : Microsoft et Amazon ont travaillé ensemble pour qu’Alexa et Cortana puissent communiquer entre elles. Et Limp se dit prêt à poursuivre ce travail en commun avec des concurrents.

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Le décalage des versions d’iOS pose des problèmes de restauration entre iPad (iOS 12.1.1) et iPhone (iOS 12.1.2)

Mickaël Bazoge |

Les utilisateurs d’iPhone ont un temps d’avance sur ceux qui ont un iPad : leur smartphone fonctionne avec une version modifiée d’iOS 12.1.2, tandis que les iPad en sont toujours à iOS 12.1.1. Les nouveautés de cette seconde version d’iOS 12.1.2, sortie un petit peu en catastrophe à la fin décembre, se résument manifestement à répondre aux allégations de Qualcomm en Chine sur l’infraction à des brevets (une nouvelle animation a ainsi fait son apparition dans le tiroir multitâche).

Pendant le processus de restauration des données. @Matt Swider

Seul hic, comme on l’a dit, les iPad se contentent d’iOS 12.1.1, dernière version finale fournie par Apple. Et cela pose un problème, car il est impossible de restaurer une nouvelle tablette avec la sauvegarde iOS d’un iPhone équipé d’une version du système plus récente, comme le relève TechRadar.

La solution trouvée par le site ne conviendra pas à tout le monde, elle consiste à acheter l’accès au portail développeur d’Apple (99 € par an) afin d’installer la bêta d’iOS 12.1.3 s’inscrire au programme de bêta publique d’Apple afin d’installer la préversion d’iOS 12.1.3 sur l’iPad : ce dernier sera ensuite en mesure de piocher dans la sauvegarde d’une version plus ancienne du système.

L’alternative sage, c’est d’attendre qu’Apple lâche la version finale d’iOS 12.1.3 pour tout le monde, iPhone comme iPad. Il peut aussi être bon (mais c’est plus long) de repartir de zéro avec un nouvel appareil, ne serait-ce que pour faire le ménage dans les apps.

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En Allemagne, l’Apple Store retire les iPhone 7 et 8 de ses rayons

Mickaël Bazoge |

Apple ne vend plus ni l’iPhone 7/7 Plus, ni l’iPhone 8/8 Plus en Allemagne. Le site web du constructeur reflète le retrait de la commercialisation de ces deux modèles : la barre de sélection de la page d’accueil de l’iPhone se résume aux modèles les plus récents.

En Allemagne…
… et en France.

Qualcomm a obtenu du tribunal de Munich l’interdiction de l’importation et de la vente des iPhone coupables d’infraction à des brevets détenus par le fondeur. Le constructeur avait retiré les iPhone 7 et 8 des rayons de ses boutiques allemandes, mais en versant une caution de 1,3 milliard d’euros, Qualcomm a renforcé la décision judiciaire.

Apple a fait appel, mais pendant son examen, les deux modèles doivent être retirés de la commercialisation. Si d’aventure le constructeur remporte son bras de fer, la caution de Qualcomm servira à éponger les pertes subies par la Pomme. En attendant, les consommateurs qui voudraient s’équiper d’un iPhone 7 ou d’un iPhone 8 peuvent éventuellement tenter leur chance auprès d’un revendeur tiers… même si ces derniers aussi ne sont plus censés les vendre.

Dans une déclaration livrée à TechCrunch, Apple déplore la tentative « désespérée » de Qualcomm de contourner les vrais problèmes qui touchent les relations entre les deux entreprises. Les tactiques du fondeur « nuisent à l’innovation et aux consommateurs », ce dernier facturant des frais « exorbitants » pour rémunérer du travail « qu’il n’a pas réalisé ».

Apple se dit « déçue » par le verdict de la justice allemande, et rappelle que « tous les modèles d’iPhone restent disponibles » dans 4 300 points de vente en Allemagne, exception faite des iPhone 7 et 8 dans ses 15 boutiques. Pas un mot sur ces modèles chez les revendeurs tiers.

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WAAN, un sabre laser connecté à votre smartphone

Nicolas Furno |

WAAN est un nouveau sabre laser, inspiré par ceux de l’univers de Star Wars évidemment, même s’il n’a pas de licence et doit donc tout faire pour éviter de mentionner la célèbre saga. Par rapport à tous ceux qui ont déjà essayé de reproduire la fameuse arme d’un Jedi, ce nouveau-venu est connecté à un smartphone via du Bluetooth et une app dédiée.

Conçu en France et même à Lyon par une filiale du groupe LDLC, ce sabre laser se veut aussi plus réaliste que tous ses prédécesseurs, en particulier grâce à une réactivité sonore bien supérieure. Le son est censé être parfaitement calé sur les mouvements, sans latence qui pourrait ruiner l’expérience. Les bruitages peuvent être transmis à un casque Bluetooth ou même sur des enceintes externes, là encore sans latence d’après ses concepteurs.

Le WAAN dispose d’une autonomie généreuse (jusqu’à 6 heures), la lame peut être remplacée facilement ou simplement retirée pour simplifier le rangement. Des lames de longueur différente seront proposées et à terme, on pourra aussi opter pour un autre design de manche, même si c’est un modèle unique pour le moment. La connexion Bluetooth 4.2 servira à configurer le sabre laser, à la fois pour changer la couleur de la lame, et pour modifier les paramètres sonores.

Le WAAN est en phase de financement sur Kickstarter. Vous pouvez acheter un exemplaire à un tarif réduit : 199 € si vous vous dépêchez, 229 € sinon. Le prix final de commercialisation devrait être de 299 € et les livraisons sont prévues à partir du mois de septembre 2019.

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