Les derniers chiffres de ComScore le montrent : Apple maintient sa place de dauphin du marché des smartphones aux Etats-Unis, en tenant 25,1 % du marché, derrière RIM, dont les différents modèles de Blackberry s'arrogent 43 % de parts de marché.

Si l'iPhone continue sa progression, il marque cependant très légèrement le pas, avec une croissance entre octobre 2009 et janvier 2010 de seulement 0,3 point, contre 1,2 point de septembre 2009 à décembre 2009. Un tassement qui est en train de devenir un classique de début d'année, quand l'effet nouveauté laisse doucement sa place à l'attente d'un nouveau modèle, certainement pour la fin du printemps.

Si Microsoft continue son long chemin de croix en attendant Windows Phone 7, Palm semble plus que jamais au bord du gouffre, même si ces chiffres ne prennent pas en compte les nouveaux modèles apparus récemment chez Verizon. C'est toujours Android qui affiche le plus grand taux de croissance, les dizaines de modèles équipés de l'OS de Google prenant 7,1 % du marché, contre 2,8 % il y a six mois.

Le SDK de l'iPhone OS 3.2, sorti hier soir, révèle son lot de petites nouveautés, comme ces prédécesseurs. Apple aurait notamment prévu, dans cette version de nouveaux gestes multi-touch.

Le dossier gestures contient en effet deux nouvelles entrées, le triple-tap, et l'appui long, gestes qui n'existent pas dans l'iPhone OS 3.1, version actuellement disponible sur nos iPhone et iPod touch.

Avec un peu de chance, ces gestes seront embarqués dans la version finale de l'iPhone OS 3.2 qui sera fournie avec l'iPad à la fin du mois.

Nous évoquions le mois dernier la colère de Xiaolong Wu, qui voyait dans l'iPad un plagiat de sa tablette P88 (lire Un P88 sur la tempe de l'iPad en Chine). Faute d'avoir attaqué Apple en justice, la société Great Long Brother lui a rendu la monnaie de sa pièce, en équipant sa tablette d'une version quelque peu modifiée de Windows 7, pour qu'elle ressemble en tout point, ou à peu de chose près, à Mac OS X…

Source:Gizchina

Suite à la parution du rapport de l'EFF sur le contrat de licence du programme développeur iPhone (lire : Apple est un seigneur féodal et jaloux selon l'EFF) et aux différentes affaires de rejets d'applications sur l'App Store, Tristan Nitot a violemment critiqué l'attitude d'Apple.

Lors de l'événement Mobile 2.0 à Paris, le vice-président de Mozilla Europe a déclaré : "Peux-t-on accepter le diktat du bien pensant imposé par Apple ? Je pense que le mobile doit suivre le chemin pris par le Web, à savoir une liberté totale. Apple tente au contraire d'imposer ses vues de ce qui est bien ou pas mais ses valeurs ne sont pas partagées par tous. Les contraintes d'Apple sont issues d'une culture bien différente à la nôtre, doit-elle s'imposer aux autres ?".

Et de rajouter que la fondation Mozilla ne portera pas son navigateur sur l'iPhone, car "la porte est fermée de leur côté". Il ajoute : "Il est impossible pour nous d'accepter la possibilité d'être banni de l'App Store sans raison et d'obtenir pour tout dédommagement 50 dollars. Ce cadre n'est pas équilibré, ce n'est pas possible d'y entrer lorsqu'on investit dans le portage ou le développement d'une application".

Rappelons que l'EFF a dévoilé qu'Apple ne s'engage qu'à hauteur de 50 $ en cas d'erreur de manipulation qui porterait atteinte à un programme, comme sa désactivation ou la perte d'informations personnelles. Elle prendra par contre ce risque pour Weave qui est en cours de portage sur l'iPhone.

Opera tient un discours assez proche de son "rival". Charles McCathieNevile estime que les contraintes imposées par Apple sont disproportionnées. Le responsable des standards pour l'éditeur norvégien ne désespéra pas cependant de voir la firme américaine valider son navigateur sur l'App Store. Elle a fait appel à a des avocats pour s'assurer qu'Opera mini est conforme aux règles de la plate-forme de téléchargement d'Apple.

Il estime cependant qu'Apple cédera face à la pression populaire. Le fait qu'Opera ne soit pas présent sur l'iPhone pénaliserait Apple dans certains pays, en Russie notamment.

[via Business Mobile]

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La section Jeux n'est plus la section la plus riche de l'App Store. Elle a récemment été détrônée par la rubrique Livres numériques. Cette dernière comporte selon Mobclix 27 000 titres contre 25 400 pour la rubrique Jeux.

Et le phénomène n'est pas prêt de s'inverser selon Mobclix, les soumissions de livres sont de plus en plus importantes. Il est vrai que concevoir une application contenant un livre est autrement plus aisé que mettre au point un jeu.

Sur l'App Store, la section Livres numériques comporte quelques particularités, elle est peuplée à 90 % d'applications gratuites. Rien de surprenant à cela, il s'agit souvent de livres tombés dans le domaine public. À titre de comparaison, la section Jeux comporte deux fois plus d'applications payantes que gratuites.

Si les livres sont disponibles en grande quantité sur l'App Store, ils ne connaissent pas forcément un succès important pour autant. Dans la catégorie gratuite, le premier dans cette section n'est pas présent dans le classement des 100 applications les plus téléchargées.

[via The Guardian]

Chez Apple, le mardi n'est pas uniquement synonyme de fermeture d'Apple Store (enfin de temps en temps). C'est aussi le jour des nouveautés sur l'iTunes Music Store. Pour les présenter, Apple dispose d'une newsletter baptisée "New Music Tuesday". Elle se sert également de cette appellation pour un un podcast qui n'a plus été mis à jour depuis septembre dernier.

Apple a déposé cette marque il y a quelques jours. Comme le note très justement le site Patently Apple, la firme de Cupertino utilise ce terme depuis juin 2003. Alors, la question que tout le monde se pose est de savoir pourquoi Apple a mis tant de temps pour protéger ce terme.

En France, Apple utilise l'appellation Mardi Mélodies.

Si les américains bénéficiaient depuis la mi-2008, nous pouvons désormais également faire nos emplettes à partir de l'iPhone. Amazon.fr [1.2.3 - 1,2 Mo - gratuite] reprend toutes les fonctionnalités de la version US : achats en direct à l'aide de votre compte Amazon, comparateur de prix, suivi de commande, listes d'envies de cadeaux, et un système ingénieux de reconnaissance d'images : prenez une photo d'un objet, et le serveur d'Amazon tâchera de le reconnaître pour vous donner sa fiche dans le catalogue et vous permettre de l'acheter (lire : L'œil de l'ordinateur).