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Découvrez Home Assistant : pourquoi j’ai abandonné HomeKit pour cette solution domotique

Nicolas Furno

Monday 12 August 2024 à 16:30 • 43

Domotique

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Pourquoi choisir Home Assistant ? C’est la première question de notre série et ce premier article apportera des réponses basées sur ma propre expérience. Quand je me suis senti trop limité et frustré avec HomeKit, j’ai cherché une alternative et j’ai rapidement opté pour Home Assistant. Ce n’est pas pour autant une solution qui conviendra forcément à tout le monde, c’est pourquoi avant d’ouvrir le capot et de commencer à tout configurer, je voulais commencer par expliquer mes motivations ainsi que les avantages et les limites de l’alternative que j’ai choisie.

L’herbe est-elle plus verte avec Home Assistant ? Image iGeneration.

Au programme dans cette partie

Pourquoi abandonner HomeKit ?

Quitter la domotique conçue par Apple n’a pas été une décision simple tant j’étais impliqué dedans. Je suis tombé sérieusement dans la marmite de la domotique courant 2018 avec les accessoires bon marché d’Aqara et j’ai alors rapidement renforcé mon installation avec, à l’arrivée, plusieurs dizaines d’accessoires, tous nativement compatibles avec HomeKit. J’ai expérimenté dans tous les domaines et l’aspect automatisation m’a rapidement séduit, comme sur tous mes ordinateurs. Contrôler une ampoule pour avoir du vert ou du bleu ne m’intéressait pas spécialement. Pouvoir allumer et éteindre toutes les lumières automatiquement en fonction d’autres critères, voilà qui m’a parlé dès le départ.

HomeKit propose bien un volet dédié à l’automatisation depuis le départ. Apple étant Apple, ces automatisations restent assez limitées. Elles visent les besoins les plus courants sans satisfaire les utilisateurs les plus avancés. C’était encore bien pire au départ, où il fallait utiliser des apps tierces pour réaliser les tâches les plus basiques. Même si la situation s’est améliorée au fil du temps, notamment avec l’ajout d’une pointe de Raccourcis, j’étais de plus en plus frustré par tout ce que je ne pouvais pas faire dans l’app Maison.

Les automatisations sont faciles à configurer dans Maison et quand elles fonctionnent correctement, elles sont très pratiques. Quand elles fonctionnent.

Plus que le manque de fonctionnalités, c’est le manque de stabilité qui a fini par m’inciter à déménager dans un nouvel écosystème. Une fois configurées, les automatisations HomeKit fonctionnent très bien jusqu’au jour où elles ne fonctionnent plus. Pourquoi ? Allez savoir, Apple ne donne strictement aucune information dans l’app Maison, si bien qu’il est impossible de comprendre la source d’une panne. Redémarrer le concentrateur HomeKit, Apple TV ou HomePod, peut suffire à relancer la machine. J’avais aussi supprimé un HomePod mini pour ne garder qu’une Apple TV reliée en Ethernet. Cela avait amélioré la régularité des automatisations, sans atteindre la perfection.

Sans compter qu’à chaque mise à jour d’iOS, de tvOS ou du système d’exploitation des enceintes, tout peut casser sans prévenir. Je me suis fait avoir à plusieurs reprises par des bêtas qui bloquaient tout ou partie de mon installation domotique, ce qui est très frustrant. Et je ne peux pas arrêter d’installer des bêtas, c’est mon métier de les tester et d’écrire dessus. L’impossibilité d’isoler HomeKit pour ne plus perdre toutes mes automatisations à chaque mise à jour a été une source de frustrations fréquentes, d’autant qu’Apple ne fournit là encore aucune aide. Revenir à une version précédente ? N’y pensez pas. Afficher des diagnostics pour déterminer d’où vient le problème ? Et puis quoi encore.

Il faut encore ajouter à cela l’impossibilité de tout contrôler chez moi, parce que les catégories d’appareils gérés par HomeKit sont assez réduites. Je ne pouvais pas lier ma voiture pourtant connectée, par exemple, et il y a bien d’autres catégories qu’Apple ne gère tout simplement pas. L’autre avantage à changer que je n’avais pas envisagé au départ, c’est que les accessoires certifiés HomeKit sont plus chers. En adoptant un autre écosystème, j’ai pu acheter des produits vendus une fraction du prix de ceux qui ont la certification d’Apple. Je n’y avais pas pensé initialement alors que c’est pourtant un argument fort en faveur des concurrents de HomeKit.

Quoi qu’il en soit, après cinq années à me battre régulièrement avec HomeKit, j’étais mûr pour tester autre chose. Profitant d’un déménagement, j’ai choisi d’essayer Home Assistant pour remplacer la domotique d’Apple. Pourquoi lui ? Voici quelques arguments qui ont motivé mon choix.

Home Assistant, une solution domotique ouverte qui peut remplacer ou compléter HomeKit

Home Assistant est un programme libre qui a fêté son dixième anniversaire en 2023. Le développeur néerlandais Paulus Schoutsen a publié la toute première version en septembre 2013 et à l’époque, c’était un framework en Python qui n’avait qu’un seul rôle : contrôler l’allumage et l’extinction d’ampoules Hue, en fonction de la présence au domicile et de la course du soleil. L’automatisation était déjà au cœur de l’expérience. Dix ans plus tard, la poignée de fichiers en Python s’est transformée en une solution complète, au point d’être un système d’exploitation entier.

Home Assistant prend la forme d’un serveur de domotique qui tournera en permanence pour contrôler vos appareils connectés déjà présents chez vous. Idéalement, vous l’installerez sur un ordinateur qui consomme peu, comme un Rapsberry Pi, même si d’autres options existent et nous les verrons ensemble dans la partie suivante.

Le Home Assistant Yellow, un boîtier qui contient tout ce qu’il faut pour faire tourner la solution de domotique, qui est d’ailleurs préinstallée.

Son objectif principal reste de communiquer avec des appareils connectés et de les contrôler. Home Assistant le fait désormais à une tout autre échelle, même si les fondamentaux n’ont pas changé. En particulier, la solution reste entièrement open source, avec l’intégralité du code distribuée sur GitHub. Une entreprise qui compte une trentaine d’employés a été créée pour encadrer son développement, même si n’importe qui peut participer et que des dizaines de milliers de bénévoles y prennent part. C’est d’ailleurs le projet qui rassemble chaque année le plus de contributeurs sur GitHub, rien que ça.

Home Assistant est désormais une alternative qui peut concurrencer les plus gros acteurs du marché. On peut l’utiliser à la place de HomeKit d’Apple, comme je l’ai fait, ou bien de Google Home ou encore d’Alexa conçu par Amazon. On peut aussi l’utiliser pour remplacer les ponts propriétaires, de Hue, Aqara ou IKEA, qui se sont peut-être aussi multipliés chez vous. C’est ce que j’ai choisi de faire progressivement, pour ne garder à l’arrivée que mon installation de Home Assistant. Ce n’est toutefois pas la seule approche possible et vous pouvez aussi exploiter cette alternative libre en complément d’un écosystème propriétaire existant.

Rien ne vous oblige en effet à utiliser toutes les fonctionnalités de Home Assistant et d’ailleurs, vous ne les utiliserez probablement jamais toutes. Même après plusieurs mois passés avec cette solution, je découvre encore régulièrement de nouvelles possibilités dont j’ignorais jusqu’à l’existence. Que cela ne vous effraie pas : au contraire, cela devrait vous encourager à aborder Home Assistant en douceur, en prenant le temps de découvrir l’ensemble petit à petit.

Je détaillerai dans la suite de la série comment utiliser cette solution complète uniquement comme un équivalent à Homebridge. Si vous ne connaissez pas, ce service également libre et gratuit permet d’ajouter des appareils qui ne sont pas HomeKit dans l’app Maison. On peut utiliser l’immense écosystème de produits gérés par Home Assistant pour ajouter à l’app Maison des catégories entières qu’Apple ignore, sans pour autant basculer entièrement dans ce nouveau monde.

Découvrez Homebridge, la passerelle vers la compatibilité HomeKit

Découvrez Homebridge, la passerelle vers la compatibilité HomeKit

Cette souplesse est une force, même si elle peut aussi intimider. Vous pouvez suivre mon exemple et mettre tous vos œufs connectés dans le panier de Home Assistant, ou alors ne l’utiliser que pour une poignée d’accessoires de domotique qu’Apple ne gère pas. Toutes les étapes entre les deux sont bien entendu envisageables : on peut privilégier l’app Maison pour la majorité des automatisations, tout en utilisant son concurrent open source pour les tâches les plus complexes, par exemple.

Un écosystème et une communauté immenses, deux atouts précieux

Pourquoi choisir Home Assistant ? Que l’objectif soit de remplacer entièrement une solution concurrente comme HomeKit ou de compléter votre installation domotique en gérant d’autres appareils, il est important quoi qu’il en soit de choisir une option aussi complète que possible. Sur ce point, il est difficile de mettre en défaut l’immense catalogue de produits et de services gérés par Home Assistant, soit nativement, soit grâce à des modules tiers.

Si vous venez de HomeKit, sachez que quasiment tous les appareils pourront y trouver place par ce biais. S’il y a d’autres options pour bon nombre d’entre eux, c’est la seule pour les produits exclusivement compatibles avec l’écosystème d’Apple, comme la gamme Eve, et c’est bien utile pour simplifier la transition. Home Assistant est aussi compatible avec Matter, le nouveau standard de domotique, ce qui l’ouvre à un nombre croissant d’accessoires connectés, comme les produits Nanoleaf récents.

Au moment où j’écris ces lignes, le site officiel du projet revendique pas moins de 2 596 intégrations différentes. S’il est inutile d’espérer faire une liste complète, on peut quand même noter que tous les plus gros acteurs sont présents : Hue, IKEA, Netatmo, Somfy, Nanoleaf, SwitchBot ou encore Tuya pour ne citer que quelques noms. Si vous avez un produit particulier à prendre en charge, je vous conseille de consulter dans un premier temps cette liste et d’utiliser son champ de recherche pour trouver la marque.

Une toute petite partie des services et accessoires gérés par Home Assistant.

Si vous ne la trouvez pas, tout n’est pas perdu. En effet, en plus des intégrations intégrées au cœur de Home Assistant et systématiquement disponibles, il y a encore des milliers d’intégrations tierces via des modules que l’on peut installer. Pour donner quelques exemples, c’est vrai pour Meross, Xiaomi, Arlo, Eufy et tant d’autres qu’il est à nouveau vain d’essayer de tous les citer. L’immense communauté qui gravite autour du projet est essentielle pour maximiser vos chances d’avoir une option pour tous les objets connectés chez vous. La nature open source du projet est logiquement un point déterminant, puisque n’importe qui peut créer un module supplémentaire pour enrichir encore Home Assistant. Même vous, si vous avez les compétences nécessaires.

Cette même communauté est tout aussi importante quand vous rencontrez un problème. Les forums officiels sont une mine d’or pour se dépêtrer face à un blocage ou obtenir des informations pointues sur un sujet précis. Si vous préférez une communauté francophone, les forums HACF constituent une excellente source d’informations et peuvent servir de base pour demander de l’aide en cas de problème.

Autre avantage en faveur de Home Assistant, ses mises à jour régulières, qui répondent bien à l’exigence d’un domaine constamment en évolution. De ce côté, le projet est aussi régulier qu’un train suisse, avec une mise à jour majeure qui sort le premier mercredi de chaque mois et qui apporte à chaque fois de nombreuses nouveautés. Chaque version peut améliorer le fonctionnement de base et surtout enrichir encore un petit peu plus le catalogue d’intégrations natives. Qu’il s’agisse de gérer un nouveau produit au catalogue d’un fabricant connu ou carrément d’ajouter un nouveau fabricant, il y a systématiquement des évolutions intéressantes.

Home Assistant a droit à une mise à jour significative par mois, avec à chaque fois des nouvelles intégrations et de nouvelles fonctionnalités.

Grâce à ces évolutions bien plus rapides que chez Apple, Home Assistant adopte les nouveautés plus promptement et s’assure une bonne place dans la domotique de demain. À titre d’exemple, non seulement le nouveau standard interopérable Matter est pris en charge, mais il est mieux tenu à jour que dans l’app Maison. J’en veux pour preuve la version 1.2 sortie à l’automne 2023 d’ores et déjà gérée par Home Assistant, alors qu’on l’attend pour le début de l’année 2024 chez Apple.

Même s’il a beaucoup d’arguments à faire valoir, Home Assistant n’est pas le seul candidat sur ce segment des solutions de domotique open source. Jeedom mérite assurément une mention, puisque c’est un système libre et français qui bénéficie lui aussi d’une large communauté francophone ainsi que d’une bonne compatibilité. Je ne l’ai pas retenu sans l’avoir testé réellement, bloqué en partie par son interface et sa place de marché où les modules sont souvent payants. C’est un choix personnel toutefois et Jeedom est une excellente option aussi.

La page d’accueil du projet Jeedom, qui présente l’énorme avantage d’être entièrement traduit en français, alors que Home Assistant nécessite de bonnes bases en anglais.

D’autres alternatives existent encore, comme openHAB ou encore Domoticz, et bien d’autres plus spécialisées. Cette série sera bien assez longue en me concentrant sur Home Assistant, alors vous ne m’en voudrez pas si je n’explore pas ces autres pistes…

Home Assistant est-elle la bonne option pour vous ?

Nous aurons tout le loisir dans la suite de la série de nous plonger dans son installation et sa configuration. Avant cela, je voulais terminer cette présentation avec une mise en garde : ce n’est pas parce que Home Assistant me convient et que je suis ravi de ne plus dépendre de HomeKit et de l’app Maison au quotidien que c’est la bonne option pour tout le monde. Ce n’est peut-être pas la bonne pour vous en particulier, alors voici les quelques points à savoir avant de vous lancer.

Tout d’abord, Home Assistant reste une solution conçue par des geeks pour des geeks, et cela se voit. La rendre plus agréable, en particulier pour les personnes qui vivent sous votre toit et qui ne sont pas toujours aussi tolérantes ou patientes que vous, demande un effort supplémentaire et le résultat peut rester décevant face à la simplicité d’une app comme Maison. Il ne faut pas oublier également que tout ou partie de la domotique dépendra alors d’un serveur installé localement et qu’au moindre problème sur celui-ci, votre installation ne fonctionnera plus.

Home Assistant et Maison dans leurs configurations par défaut. Je vous rassure, on peut améliorer la situation pour le premier, comme on le verra dans un prochain article.

Aucun système n’est infaillible. La transition vers la nouvelle architecture HomeKit a servi de piqure de rappel : la domotique dans l’univers d’Apple peut elle aussi tomber en panne. Sauf que ce n’est alors pas votre faute et que vous ne pouvez rien faire d’autre qu’attendre qu’Apple améliore la situation.

Avec Home Assistant, en cas de pépin, vous êtes responsable de la réparation et même si c’est plaisant pour un geek de pouvoir comprendre ce qui ne va pas et le corriger, votre entourage n’aura pas toujours la même patience. Dans mon expérience, la solution open source est d’une stabilité remarquable, ce qui n’empêche pas que des problèmes surviennent à cause d’un accessoire déconnecté ou d’une automatisation mal pensée.

Cet argument ne vous effraie pas ? Sachez quand même que Home Assistant n’est pas une solution parfaite qui saura répondre à tous les besoins avec la même efficacité. Tout évolue en permanence, alors je voudrais insister sur deux domaines qui me semblent particulièrement en retrait lorsque j’écris ces lignes, au début de l’hiver 2023 : la gestion des caméras et les assistants vocaux.

On peut connecter une caméra à Home Assistant, il y a des intégrations officielles pour certaines marques ou une connexion locale et directe en utilisant une norme standard pour d’autres modèles. Le problème survient avec l’exploitation des données, ou plutôt l’absence de toute exploitation justement. Vous pourrez consulter le flux vidéo généré par une caméra et c’est à peu près tout. Si quelques modèles offrent des fonctionnalités supplémentaires, comme la détection des mouvements, on reste très loin de ce que HomeKit et les autres plateformes peuvent offrir.

Affichage du flux vidéo d’une caméra connectée dans Home Assistant : on reste sur une gestion très limitée.

Ce n’est pas un hasard, c’est même un choix assumé de la part des concepteurs de Home Assistant, qui considèrent que l’analyse et le stockage des images générées par les caméras sont des tâches qui reviennent à un enregistreur vidéo réseau, ou NVR. Plusieurs intégrations sont d’ailleurs proposées pour gérer des NVR sur le marché, comme Surveillance Station de Synology ou UniFi Protect pour prendre deux exemples connus. N’étant pas équipé, je compte explorer le projet Frigate qui est sur la même logique d’une solution open source et locale. Quel que soit votre choix, il faut garder en tête que Home Assistant n’est pas un bon outil de base pour gérer des caméras de sécurité.

Les assistants vocaux sont couramment utilisés pour contrôler la domotique et si vous comptez sur Siri, Alexa ou Google Assistant au quotidien, vous allez être également déçu. C’est logique, créer un assistant vocal compétent est une tâche extrêmement complexe (demandez à Apple…), surtout quand on veut le faire localement, sans recourir à un serveur distant, et avec des logiciels libres. On est encore loin du compte avec Home Assistant et si c’est rédhibitoire pour vous, mieux vaut passer votre chemin. Si vous n’êtes pas trop pressé, sachez que c’est un travail en cours au sein de l’équipe de développement et qu’à terme, un assistant vocal open source et local devrait exister.

Domotique : Home Assistant poursuit son travail pour créer un assistant vocal open-source

Domotique : Home Assistant poursuit son travail pour créer un assistant vocal open-source

En attendant, Siri peut contrôler les appareils configurés dans Home Assistant en activant la fonctionnalité similaire à Homebridge, même si cela reste du bricolage. Pour ma part, n’étant pas un grand fan des assistants vocaux, cette absence ne m’a jamais gênée.

Je vous ai convaincu ? La prochaine partie de notre série entrera dans le vif du sujet avec l’installation et la configuration de Home Assistant sur un Raspberry Pi.

La suite de la série est aussi disponible sous la forme d'un livre numérique : Découvrez Home Assistant (4,99 €)

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