Presse : Adobe gère les abonnements in-app et Pass média

Nicolas Furno |

Dans la confrontation à venir entre, d'un côté, les abonnements in-app d'Apple et de l'autre le Pass média de Google, Adobe a choisi de ne pas choisir et de se restreindre à sa position d'éditeur de contenu multiplateforme. La suite Digital Publishing, pour le moment réservée à quelques éditeurs, devrait gérer à sa sortie publique autant le système d'abonnement d'Apple que celui de Google. Les versions actuelles supportent déjà les abonnements in-app et le Pass média sera ajouté dans un futur proche.

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Cette suite permet de simplifier le passage du magazine papier édité dans InDesign à sa version numérique. Elle permet autant de créer des PDF, que des documents ePub, des sites web en HTML5 ou encore des applications pour iPad. L'exemple le plus célèbre actuellement disponible dans l'App Store est certainement l'application Wired (Gratuit).

via macnn

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MountMe accroche l'iPad partout

Nicolas Furno |

MountMe est un nouvel accessoire qui permet d'accrocher un iPad un peu partout : sur une vitre, sur un mur, sur un siège de voiture, sur des genoux ou encore sur la tablette d'un avion.

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Le MountMe se présente sous la forme d'une coque pour iPad munie d'un système d'accroche. À ce système vient se greffer le morceau de métal qui permet ensuite de solidement accrocher la tablette. Vous pourrez alors fixer définitivement le MountMe à un mur en le vissant, ou alors de manière plus temporaire au siège d'une voiture ou sur un genou à l'aide de la lanière fournie, ou alors sur une vitre, un frigo ou toute autre surface lisse à l'aide des quatre ventouses également fournies.

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Une fois accroché, l'iPad peut tourner sur 360° et être orienté sur 90°. De quoi trouver une position confortable dans tous les cas d'après le constructeur. Quatre couleurs différentes sont actuellement proposées (noir, gris, rouge et rose) et d'autres devraient être rapidement ajoutées. Le MountMe est disponible pour 49,99 $ (36 €) auxquels il faudra ajouter frais de port et taxes.

via macnn

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Special event : rendez-vous demain sur iGeneration

Christophe Laporte |

C'est donc demain qu'Apple présentera en toute logique le successeur de l'iPad. L'invitation ne fait pas de mystère sur le plat de résistance de ce special event : il sera question de la tablette d'Apple. Il est vrai que la société californienne a dégagé le terrain la semaine dernière en présentant les nouveaux MacBook Pro et en proposant aux développeurs une première bêta de Mac OS X Lion.

Une maquette d'iPad 2 qui serait dit-on très proche du modèle présenté demain

On ne serait pas étonné qu'Apple présente à cette occasion de nouveaux logiciels pour sa tablette. Et qui sait, peut-être aurons-nous le droit à un avant-goût d'iOS 5. À noter qu'il se murmure que Steve Jobs pourrait faire une apparition demain.

Bien entendu, nous vous proposerons de suivre l'événement en direct via notre page spéciale à partir de 19 heures. Comme toujours, vous pourrez également suivre le special event depuis MacG Mobile.

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iPhone : le terminal le plus rapide pour surfer sur internet ?

Christophe Laporte |

Lorsqu'elles surfent sur le web, les personnes sous iOS sont celles qui attendent le moins, si l'on se fie à cette étude menée par Gomez, une société spécialisée dans l'optimisation de sites web.

En moyenne, il faut 19 secondes pour charger une page et 15 secondes pour son rendu à partir d'un iPhone. Sur Android, le chargement met 36 secondes et le rendu 28 secondes. Le BlackBerry est très loin derrière : 60 secondes pour le chargement, et 43 pour le rendu.

Pour établir ces chiffres, Gomez a analysé plus de 282 millions de pages vues sur plus de 200 gros sites. Comme l'explique Gomez, le chargement d'une page et son rendu dépend de plusieurs critères : la bande passante, la puissance du terminal, le degré d'optimisation du butineur…

Voir l'iPhone distancer autant Android est assez surprenant, sachant que sur les dernières versions du système de Google, le navigateur est un ton au-dessus sur le plan des performances par rapport à Safari Mobile (lire : L'iPhone 4 commence à accuser son âge).

Si cette étude est favorable à l'iPhone, c'est probablement lié au fait qu'Apple est essentiellement présent sur le haut de gamme avec ses smartphones alors que Google est sur tous les segments. De plus, la fragmentation joue sans doute des tours à Google.

Cette étude a également été menée avec les navigateurs pour Mac et PC. Là encore, les chiffres sont surprenants à première vue. Safari arrive largement en tête. Mais cela est sans doute lié au fait que ce dernier est majoritairement utilisé sur Mac et ne fonctionne que sur les versions récentes de Mac OS X.

[Via : PCWorld]

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Speedball 2 : un autre classique débarque sur l'iPhone

Christophe Laporte |

Si vous n'aviez pas d'Amiga, d'Atari ST ou encore de MegaDrive, Speedball ne vous dira pas grand-chose. Pour les autres, cela devrait vous rappeler des parties où le sang coulait à flot.

Speedball est un jeu futuriste, un mélange de football américain et de handball, où tout est permis ou presque. Tower Studios ne s'est pas contenté de faire un portage brutal sur iOS. Les contrôles de Speedball 2 Evolution ont été revus pour les terminaux d’Apple. D'autre part, il permet de jouer à plusieurs (Wi-Fi et Bluetooth) et supporte le Game Center.

Pour les petits nouveaux, il existe un tutoriel pour vous apprendre à donner des coups qui font mal. Prix : 2,99 €.

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Aperçu d'Evernote 4

Anthony Nelzin-Santos |

Evernote présente aujourd'hui une nouvelle version majeure de son application iOS, la quatrième [4.0 (+) - 10 Mo - Gratuit]. Les modifications sont plus profondes qu'un coup d'œil rapide pourrait laisser croire : en adoptant les dernières tendances en matière d'interfaces, Evernote pour iOS modifie sensiblement son fonctionnement et se recentre sur la prise de notes textuelles.

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Jusqu'ici, Evernote accueillait l'utilisateur avec un écran lui proposant de choisir le type de note à créer. Désormais, la liste des notes est mise au centre de l'application. À la manière d'Instagram, Evernote coupe la barre d'outils en deux : sur Instagram c'est un bouton prendre une photo qui occupe le centre de l'application, ici c'est un bouton pour créer une nouvelle note.

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Dans l'ancienne version d'Evernote, il aurait fallu revenir à l'écran d'accueil pour créer une note. Ici, il suffit de cliquer sur le gros plus bleu. Bien plus rapide et pratique.

Ce changement peut paraître bénin, mais il change radicalement la manière dont on se sert d'Evernote en accélérant la création d'une note et en minimisant les frictions (plus grand contraste, emplacement persistant…). Evernote avait il faut le dire perdu l'avantage face à des applications comme Simplenote.

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Enregistrement d'une note vocale.

S'il est donc plus facile de créer une note textuelle, il n'est pas beaucoup plus difficile de créer une note avec une image ou une note vocale. À la création d'une nouvelle note, le clavier ne s'affiche en effet pas, laissant la place à un damier de six cases rappelant une idée venue cette fois-ci de Twitter. Les trois cases inférieures permettent d'ajouter des pièces jointes à la note : image de la pellicule, image que l'on va prendre avec l'appareil, note vocale. Les trois cases supérieures contrôlent les métadonnées associées à la note : carnet de notes, étiquettes et position.

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Un clic sur la petite icône du clavier ou dans le champ de texte permet d'éditer la note. Notez que vous pouvez très bien ajouter plusieurs pièces jointes à une même note, mais aussi enregistrer une note vocale pendant que vous tapez. Cela permettra par exemple de suivre le cours d'une réunion ou d'une conférence, la durée d'une note vocale étant limitée à 90 minutes. On peut donc créer des notes très riches depuis son iPhone, mais il est toujours impossible de modifier une note enrichie créée depuis le Mac ou le PC sur iOS : Evernote proposer désormais de la copier en texte brut (en écrasant la note enrichie, mauvais point) ou d'ajouter du texte à cette note.

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Cette note contient deux pièces jointes et l'enregistrement du son se poursuit (icône rouge) pendant la frappe.

L'autre modification en profondeur d'Evernote concerne l'accès aux notes, grandement facilité. Les quatre onglets de part et d'autre du bouton de création de notes permettent de chercher dans les notes. « Notes » affiche la traditionnelle vue chronologique. Un appui sur le bouton en haut à droite permet de filtrer les notes par pièces jointes et métadonnées : images, fichiers et localisation. Les onglets « Carnets » et « Notes », comme on pouvait s'y attendre, offrent un accès linéaire aux notes. Ils sont tous deux dotés d'un champ de recherche : dans chaque recherche, vous pouvez modifier l'ordre de tri des notes selon divers critères (date de création, titre, carnet de notes, lieu de création).

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Accès aux pièces jointes des notes.

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Problèmes avec les notes enrichies.

Bref, Evernote 4 ne révolutionne pas le fonctionnement du service de notes en lignes, mais facilite grandement son utilisation sur iOS en minimisant grandement les frictions qui ralentissaient la création de notes et la recherche de celles-ci. Les évolutions sont un peu moins franches sur iPad ? Qu'importe, Evernote promet une mise à jour majeure pour sa version tablette qui devrait notamment apporter du nouveau côté stockage et partage en ligne.

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Rovio : « Merci Apple »

Arnaud de la Grandière |

La Game Developer Conference bat actuellement son plein, et Peter Vesterbacka, le PDG de Rovio (à qui on doit notamment Angry Birds), y a donnée une conférence.

Vesterbacka a particulièrement tenu à remettre en question le succès foudroyant d'Angry Birds et de Rovio : la société existe depuis 2003, et Angry Birds est son 52ème jeu. Avant l'arrivée de l'iPhone, Rovio faisait beaucoup de jeux de commande, et était soumise tant aux opérateurs qu'aux fabricants de téléphones. Et c'est bien l'iPhone qui a insufflé un vent de liberté dans le marché « Nous nous devons de remercier Apple. Nous avons pu nous écarter du modèle soviétique dominé par les opérateurs. D'autres personnes décidaient à notre place ce qui faisait un bon ou un mauvais jeu.

Angry Birds lui-même a mis du temps à émerger : il aura fallu 8 mois à une équipe de 12 personnes pour achever le titre, mais ce temps a été mis à profit pour peaufiner le gameplay. Le succès du jeu lui même a mis quelques temps à se déclarer : sorti en décembre 2009, le jeu a été mentionné par un skieur célèbre à la télévision suédoise, lui permettant de se faire connaître dans son pays natal, et par propagation au reste de l'Europe, puis aux Ètats Unis, où Apple a fini par le mettre en avant sur l'App Store.

Pour le patron de Rovio, 99 cents (0,79 €) est le prix magique sur l'App Store : celui que les utilisateurs ont démontré être prêts à débourser pour un jeu. Rovio s'est également montrée parcimonieuse sur les contenus additionnels payants : il n'en existe pour l'heure qu'un seul dans Angry Birds (l'aigle), et Rovio s'est placé comme objectif d'en vendre pour moitié de sa base installée. Elle n'en est pour l'heure qu'à 40 %, mais le chiffre monte et la société a bon espoir d'accomplir son objectif.

Autour du jeu, Rovio a également développé des accords de licence pour faire fructifier sa propriété intellectuelle : ainsi pas moins de 2 millions de peluches Angry Birds ont été vendues, et ce n'est qu'un début puisqu'un film animé, basé sur Angry Birds, est produit par la 20th Century Fox. Un second jeu, Angry Birds Rio, arrivera sur l'App Store le 22 mars.

Source : The Loop

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