Et si Apple fusionnait l’iPod touch et l’iPad mini ?

Christophe Laporte |

Apple s’occupe actuellement des poids morts de sa gamme. Après avoir revitalisé le Mac mini à la fin de l’année dernière, elle devrait s’occuper cette année de l’iPod touch, de l’iPad mini et même du Mac Pro. Trois produits auxquels Apple n’a pas accolé l’étiquette « new » depuis fort longtemps.

Une autre Apple aurait peut-être fait le ménage et aurait passé l’un de ses produits à la poubelle. Mais ces derniers temps, la firme de Cupertino peine à trancher dans le vif et à dire non. L’iPod touch et l’iPad mini partagent un point commun : vivre dans l’ombre de l’iPhone. Le premier avait les faveurs des adolescents, mais ces derniers sont de plus en plus équipés en smartphone. Le second avec son écran 7,9”, se distingue de moins en moins des tablettes grand format.

D’où l’idée un peu farfelue de Rozketked de fusionner les deux en ciblant cet appareil pour les joueurs ! Au niveau du format, cet appareil serait dans l’esprit plus proche d’un smartphone que d’une tablette.

Bien évidemment, ce concept qui dispose d’un écran 7”, reprendrait à son compte bien des avancées de l’iPhone X, comme Face ID.

Rozetked rêve qu’un tel appareil soit vendu 400 $ environ. Pour arriver à ce prix, le site imagine plusieurs économies. Ce terminal n’aurait pas de NFC, n’inclurait qu’un capteur pour la photo et disposerait d’un processeur moyennement puissant (A11).

Il s’inspirerait de l’iPad pour la connectique réseau. On pourrait imaginer un modèle doté uniquement du Wi-Fi et un autre possédant une puce cellulaire permettant de surfer sur Internet et d’envoyer des messages. Mais, serait-ce suffisant pour que cet appareil puisse se faire une place au soleil ?

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iOS : un raccourci pour retrouver vos abonnements App Store

Florian Innocente |

C'est peu de dire qu'Apple n'a pas rendu aisé le chemin menant vers les réglages des abonnements que l'on prend, soit pour des apps soit pour Apple Music. Et depuis deux ans, chaque version d'iOS n'y change rien.

Il faut s'enfoncer dans les réglages du système et il est facile d'oublier la route (lire Comment annuler l'abonnement à une app sur l'App Store). C'est embêtant sur le principe et ça l'est aussi lorsqu'après une période d'essai gratuit d'une app on veut résilier l'abonnement avant qu'il ne passe au payant.

Ce raccourci, signé @boletrone, porte bien son nom puisqu'il vous mène en seul tap dans la partie d'iOS où sont listés vos abonnements et leur statut.

Touchez ce lien dans Safari Mobile et tapez sur "Obtenir ce raccourci" baptisé "Manage Subscriptions". Son script n'a rien de compliqué, c'est tout bêtement un lien vers l'endroit ad-hoc d'iOS.

Dans les réglages de ce raccourci (l'icône de boutons sous "Ok" dans la capture au centre) activez au besoin l'affichage dans le widget pour l'avoir dans le bloc des raccourcis dans l'écran des widgets d'iOS

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Les premières enceintes Symfonisk d'Ikea et de Sonos seront lancées en août

Mickaël Bazoge |

Ikea et Sonos vont lancer leurs premiers produits en commun en août. Ces enceintes connectées, regroupées sous la bannière Symfonisk, seront l’occasion de s’équiper de produits Sonos à des prix sans doute un peu plus abordables qu’actuellement (la Play:1 coûte 179 €). Ce sera aussi l’opportunité pour Ikea d’étendre un peu plus sa mainmise sur la maison intelligente, puisque ces enceintes devraient en toute logique s’intégrer dans l’écosystème Trådfri1.

Ikea a précédemment indiqué que les enceintes Symfonisk fonctionneront en Wi-Fi et qu’elles pourront se connecter aux produits Sonos (lire : SYMFONISK, du Sonos pas trop cher chez IKEA en 2019). On verra si ces produits communs seront compatibles AirPlay 2 et si l’on pourra s’en servir avec des assistants. La vidéo de teasing ci-dessus déroule l’argumentaire commercial, sans dévoiler aucun produit malheureusement.

Ikea commercialise depuis quelques temps des enceintes Bluetooth Eneby au design très sobre, à partir de 49 €.

Le géant suédois de l’ameublement avait révélé un schéma en juin dernier : un parallélépipède étroit d’environ 30 x 10 cm. Rien de foufou en somme. Il s’agit surtout de faire en sorte que ces enceintes puissent s’insérer dans un habitat Ikea. « Ce n’est qu’en travaillant avec Ikea que nous pouvons cacher ce son dans les meubles », explique Sara Morris, directrice produit de Sonos, « pour que les gens puissent vraiment arrêter de penser à l’enceinte et commencer à penser au son ».


  1. On y trouve des produits lumineux, des prises connectées ainsi qu’un store enrouleur à des prix très bon marché. ↩︎

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Qualcomm avait peur des fuites d’Apple

Mickaël Bazoge |

Les plaintes qu’Apple et Qualcomm se jettent à la figure depuis le début de l’année 2017 reposent toutes sur les brevets, les licences liées et leur infraction. Mais la bagarre entre les deux ex-partenaires pourrait aussi avoir été provoqué par un banal problème de… fuites. C’est ce que suggère une discussion, relayée par Bloomberg, entre Jeff Williams le directeur des opérations d’Apple, et Steve Mollenkopf le patron de Qualcomm.

Steve Mollenkopf, le CEO de Qualcomm.

Lors de son témoignage devant la cour de San José en fin de semaine dernière, Jeff Williams avait révélé qu’Apple aurait voulu utiliser des modems Qualcomm dans ses smartphones en 2018. Deux ans plus tôt, Apple avait commencé à installer des puces réseau Intel avec l’iPhone 7. Dans l’échange — par e-mail — entre les deux hommes, le COO d’Apple écrit que les poursuites judiciaires en cours ne doivent pas masquer les bénéfices potentiels que les deux entreprises peuvent tirer de leur travail en commun.

Jeff Williams assure également qu’Apple ne fera pas fuiter le code logiciel de Qualcomm indispensable à la personnalisation de ses puces réseau. C’était une des accusations portées par Qualcomm contre le constructeur. « Dans mon imagination la plus folle où Apple agit de manière malintentionnée, j’ai de la difficulté à imaginer un scénario où ce qui a de la valeur pourrait être divulgué », écrit-il en septembre 2017.

Il propose alors à Mollenkopf la mise en place d’un « pare-feu » entre les équipes d’ingénieurs qui exploitent le code de Qualcomm. « J’espère simplement que la plainte [sur les licences] ne viendra pas obscurcir le bon jugement de l’équipe sur une opportunité de business aussi massive », poursuit Williams. Apple était prête à s’engager sur une commande de modems Qualcomm d’une valeur de 2 milliards de dollars, rien que pour 2018.

Jeff Williams.

Steve Mollenkopf lui a répondu que sa préoccupation principale était de protéger le code propriétaire de Qualcomm, et qu’il n’avait pas eu l’impression qu’Apple avait beaucoup fait pour régler ce problème de fuite. Malgré tout, le patron du fondeur a proposé à Williams l’accès au code désiré par Apple, si le constructeur s’engageait à équiper au moins la moitié des iPhone en modems Qualcomm sur les deux prochaines années.

En bout de course, Apple a préféré mettre tous ses œufs dans le même panier d’Intel, même si d’autres fournisseurs ont été envisagés comme MediaTek et même Samsung. Cette conversation, qui n’a pas été versée au dossier du procès en cours entre la FTC et Qualcomm, ne dévoile qu’une toute petite partie de la relation manifestement très compliquée entre les deux partenaires.

Ce vendredi, les représentants du gendarme américain des communications ont confronté le directeur des technologies de Qualcomm, James Thompson. Dans une conversation par e-mail avec Steve Mollenkopf remontant à 2014, Thompson conseillait de « frapper Apple pendant que nous sommes forts » dans les négociations sur les licences.

Le directeur pensait qu’Apple serait en position de vulnérabilité sur les marchés américains et chinois si l’entreprise continuait ainsi de pousser Qualcomm dans ses retranchements. Si à l’époque le fondeur avait coupé le robinet aux puces réseau, la Pomme se serait effectivement retrouvée en grande difficulté — d’où le lancement du « projet Antique » pour diversifier les sources d’approvisionnement de ces composants stratégiques (lire : Apple/Qualcomm, les coulisses d'un contrat sous pression).

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Une petite promo de 50% sur l'abonnement à 1Password

Florian Innocente |

Si vous vous grattez le menton en hésitant à prendre un abonnement à 1Password.com, l'éditeur du logiciel a une promo en ce moment. Elle est annoncée dans les notes de version du logiciel iOS sur l'App Store mais sans beaucoup plus de détails.

Il s'agit en fait d'une réduction de 50% sur les 6 premiers mois d'abonnement, et ce pour un compte individuel. Il doit être activé depuis 1Password sur iPhone ou iPad.

On paiera 1,99 $ (1,75 € environ) par mois sur ce premier semestre au lieu de 3,99 $ (3,5 €). Soit 10,5 € plutôt que 21 €. Certes, ça n'est pas l'Amérique mais c'est toujours bon à prendre si on caresse l'idée de tenter cet abonnement. Il permet en premier lieu une synchronisation entre 1Password sur plusieurs plate-formes et d'accéder au portail web de son coffre-fort.

Cette petite promo est valable jusqu'au 31 janvier.

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En Allemagne, Qualcomm force Apple à modifier un communiqué de presse

Mickaël Bazoge |

La guerre de tranchées judiciaire que mène Apple contre Qualcomm tourne à la foire d’empoigne. En Allemagne, une cour de Munich a intercédé en faveur de Qualcomm pour qu’Apple retire des linéaires de ses boutiques l’iPhone 7 et 8. Ces appareils enfreignent des brevets détenus par le concepteur des puces Snapdragon (lire : En Allemagne, l’Apple Store retire les iPhone 7 et 8 de ses rayons).

Le menu du site allemand d’Apple consacré à l’iPhone. Exit les iPhone 7 et 8.

Après la décision de la justice allemande, qui remonte au mois de décembre et contre laquelle Apple a fait appel, le constructeur avait diffusé une déclaration à la presse : les smartphones incriminés n’étaient certes plus disponibles dans les boutiques physiques du constructeur, mais il était toujours possible de se les procurer dans 4 300 autres points de vente.

Mais voilà, ce communiqué de presse a été jugé « trompeur » par la cour de nouveau saisie par Qualcomm. Il contient en effet des déclarations « potentiellement trompeuses concernant la disponibilité des produits », donnant l’impression d’une disponibilité sans entraves. Or, ce n’est pas censé être le cas de ce qu’on en comprend du jugement original.

Qualcomm a donc arraché une injonction préliminaire qui oblige Apple à revoir le second paragraphe de cette déclaration (qui en contient deux). Le premier déplorait les manigances du fondeur qui « entravent l’innovation ».

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Shadow disponible sur iOS : quand l'iPad renferme un PC gamer

Stéphane Moussie |

L’attente fut longue, mais on y est. Blade a enfin lancé le client iOS de Shadow, son PC dans le cloud. Cela signifie que l’iPhone et l’iPad peuvent faire tourner, en quelque sorte, Windows 10 et son incomparable ludothèque. Si avec ça l’iPad n’est pas le nouvel ordinateur personnel…

Shadow, qu’est-ce que c’est ?

Avant de plonger dans le cœur du sujet, un rappel sur Shadow. Lancé officiellement en 2017, il s’agit d’un service essentiellement destiné aux joueurs qui permet de profiter d’un PC haut de gamme hébergé à distance. On y accède au travers d’un client disponible sur Windows, Mac, Linux, Android et maintenant iOS (voir notre test en février 2018).

Puisqu’il est question de streaming et de jeux vidéo, une bonne connexion internet est requise. Blade recommande au moins 15 Mbit/s pour une bonne expérience. Dans les faits, on peut se contenter de moins pour d’autres usages que le jeu.

Car si le service vise surtout les gamers, rien n’empêche d’utiliser son Shadow pour toute autre chose. On dispose d’un véritable ordinateur sous Windows 10 Famille avec lequel on est libre de faire ce que l’on veut (excepté miner des cryptomonnaies et overclocker ses composants, il ne faut pas oublier que le serveur cohabite avec d’autres dans un centre de données en France).

Selon vos besoins, c’est l’avantage ou l’inconvénient de Shadow. Si vous voulez simplement jouer, c’est moins simple que GeForce NOW — qui est en bêta et n’existe pas sur mobile —, puisqu’il faut administrer un minimum son PC : installation des mises à jour de Windows et des pilotes graphiques, installation de Steam… et achat des jeux, puiqu’ils ne sont pas compris dans l’abonnement. Mais c’est donc l’assurance d’utiliser ce PC dans le cloud sans limitation…

Windows 10 sur iPad

… autre que le matériel. Car Windows 10 sur un iPad, c’est comme fusionner un grille-pain et un réfrigérateur. C’est possible, mais le résultat est loin, très loin, d’être optimal. Première embuche, l’incompatibilité d’iOS avec les souris (Android les prend en charge, pour sa part).

Shadow sur iPad Pro 2018.

Windows 10 ne propose-t-il pas un mode tablette, me direz-vous ? Si, mais il ne fait rien d’autre que changer la présentation du bureau et passer toutes les applications en plein écran. Les boutons des menus restent toujours aussi difficiles à viser.

Pour améliorer ça, il y a trois possibilités : sélectionner une définition plus basse (au détriment de la surface d’affichage) ; utiliser un stylet (l’Apple Pencil fonctionne) ; acheter une souris compatible. Eh oui, car si iOS ne gère pas nativement les souris, un fabricant, Citrix, a mis au point sa propre solution. Je n’ai pas testé, mais notre lecteur Filou76 indique que cela fonctionne avec Jump Desktop et une souris Citrix X1.

Une souris est d’ailleurs très utile, car je n’ai pas trouvé comment faire défiler les contenus avec un geste tactile — c’est la deuxième embuche. J’en suis réduit à viser les petits ascensceurs pour faire défiler les pages web ou bien, et c’est plus pratique, me servir des touches fléchées d’un clavier externe. Car les claviers externes sont, eux, gérés par iOS et reconnus sans peine par Shadow (testé avec un clavier Bluetooth Apple ainsi qu’un Smart Keyboard).

L’utilisation de Windows 10 via Shadow sur iPad est également compliquée par le fait que le système de Microsoft est complètement hermétique à iOS. On ne peut pas copier-coller un contenu d’iOS vers Windows, ou vice-versa, alors que c’est possible avec le client Mac. L’application Shadow est tout de même compatible Split View (l’affichage de Windows s’adapte automatiquement quand on redimensionne l’app hôte).

En bref, Windows 10 est exploitable sur iPad, mais ce n’est clairement pas la meilleure plateforme pour en profiter pleinement. Et sur iPhone, alors ? C’est évidemment pire, et c’est pour cela que Blade avait conçu une interface spéciale qui était présente dans les bêtas. Malheureusement, celle-ci a disparu de la version finale.

L’explorateur de fichiers qui faisait partie de la bêta.

La préversion comprenait un explorateur de fichiers qui rendait facilement accessibles la musique, les images, les vidéos et les documents stockés sur le PC. Dommage que cela n’apparaisse plus dans la version publique, ça pouvait rendre service.

Place aux jeux

Shadow n’excelle pas dans le « portage » de Windows 10 sur iPad, cependant ce n’est pas sa visée première. Ce qui importe le plus, ce pour quoi la plupart des utilisateurs payent au minimum 29,95 €/mois, c’est pouvoir jouer à de (gros) jeux PC sans compromis et de n’importe où.

Pour ça, la machine distante est très bien équipée : processeur Xeon 8 threads, carte graphique équivalente à une GTX 1080 et 12 Go de mémoire vive. Tous les jeux, même les triple A, tournent à 60 i/s avec les graphismes à fond.

Comme le jeu est exécuté à distance, le modèle d’iPhone ou d’iPad utilisé a assez peu d’importance (l’application requiert iOS 11). Si ce n’est la taille d’écran, Shadow sur iPad Pro 2018 ressemble à Shadow sur iPad mini 4. Les appareils récents sont avantagés tout au plus par leurs meilleures performances sans fil.

Bayonetta

Car la connexion internet est le nerf de la guerre quand on utilise Shadow. On l’a dit au début de l’article, 15 Mbit/s sont recommandés pour une bonne expérience. Si on est prêt à sacrifier la qualité de l’image et que la réactivité n’est pas primordiale, une vitesse inférieure peut faire l’affaire. Ce qui signifie qu’on peut tout à fait jouer en 4G. Oui, Final Fantasy XV sur son iPad à la plage, c’est possible.

Enfin, presque. On tombe sur un os quand on veut jouer aux blockbusters : les manettes MFi ne sont pas aussi complètes que les manettes des consoles. Ils leur manquent les boutons L3 et R3 (quand on clique sur les joysticks), ainsi qu’un bouton Select. Sans ce bouton, impossible d’afficher la carte et de zapper les cinématiques de Shadow of the Tomb Raider, par exemple.

Shadow of the Tomb Raider

Cette situation est en passe de s’améliorer. Un fabricant a lancé en fin d’année dernière la première manette MFi avec boutons L3 et R3 (toujours pas de bouton Select, en revanche). Et iOS prendrait en charge ces boutons depuis peu. Nous n’avons pas encore eu l’occasion de tester ce contrôleur.

Cela étant, tous les jeux ne requièrent pas autant de boutons. Je joue en ce moment sur iPad à l’excellent What Remains of Edith Finch (offert sur l’Epic Games Store jusqu’au 24 janvier), un jeu « narratif » qui ne demande ni beaucoup de boutons ni une grande réactivité.

La magie de Shadow opère alors : je peux jouer à un jeu PC/console sur iPad sans autre impératif qu’une connexion internet très haut débit, ce que l’on a la chance d’avoir ici à Lyon. Mais la magie disparaît aussi vite quand l’application Shadow plante en plein milieu d’un chapitre. Cela m’est arrivé avec la bêta de l’application. Gageons que la version finale est plus stable.

Quant aux jeux qui demandent une souris, je n’ai pas testé la solution avec la Citrix, mais ce n’est sans doute pas idéal pour jouer confortablement, eu égard à l’accessoire lui-même et au risque de latence.

Pour conclure

iOS n’est pas la meilleure plateforme pour tirer parti de Shadow. Un iPad + Shadow, ça ne fait ni une excellente tablette Windows, ni une excellente console portable. Android, compatible nativement avec les manettes consoles et les souris, est un environnement plus adéquat pour le service. Malgré tout, on ne se plaindra pas de l’arrivée de ce client iOS, une nouvelle corde à l’arc déjà bien robuste de Shadow.

Shadow coûte 29,95 €/mois avec engagement de 12 mois, 34,95 €/mois avec engagement de 3 mois ou 44,95 € pour un seul mois.

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