Apple a discrètement prolongé d'un mois la date de son offre d'échange d'un ancien iPhone pour un XR, un XS ou tout autre modèle neuf. Prévue initialement pour s'arrêter le 31 janvier il apparaît qu'elle est maintenant valable jusqu'au 28 février dans certains pays.

PhoneArena a remarqué ce changement sur la page japonaise. En poussant un peu plus loin on se rend compte qu'il en va de même pour Hong-Kong et pour Taiwan. Un coup d'œil dans le cache de Google témoigne que ces modifications ont été réalisées entre hier et aujourd'hui.

Pas de mouvement par contre sur les pages chinoise, espagnole ou française. Ces trois là en particulier car contrairement à la plupart des autres pays, elles font figurer en petites lettres la date de fin de cette opération. Ailleurs, si jamais ce changement a été aussi appliqué, il ne sera pas indiqué et on aura toujours la mention d'une offre à « Durée limitée ».

Une "durée limitée" qui commence à ressembler à ces promos sur certains forfaits chez les opérateurs low cost français, qui sont reconduites de mois en mois.

C'est à la toute fin novembre que la Pomme a démarré ce programme de reprise aux États-Unis et, juste avant Noël, sans tambour ni trompette, il a été étendu à de nombreux autres pays.

Sur fond de ventes moins élevées qu'escompté, il doit aider à renouveler le parc d'iPhone existant en proposant des offres de reprise (un peu) plus intéressantes que de coutume, en échange de l'achat d'un modèle neuf.

Les exemples qu'Apple met en avant sur ses sites pour des XR et XS peuvent être alléchants sauf qu'ils s'entendent moyennant le retour d'un iPhone 7 Plus 32 Go, un modèle encore bon pied bon œil au vu de ses caractéristiques.

[MàJ le 25/01] : une nouvelle date figure sur la page chinoise : 17 février.

Comme souvent avec les appareils très attendus de Samsung (mais cela pourrait aussi s’appliquer à Apple), les fuites sont de plus en plus nombreuses au fur et à mesure que l’on se rapproche de leur présentation. On commence ainsi à bien connaitre les nouveaux Galaxy S10 que le constructeur coréen dévoilera le 20 février, durant son événement Unpacked du début d’année. Le site AllAboutSamsung partage de nouvelles photos des Galaxy S10 et S10+, tous les deux ayant un écran Infinity-O plus ou moins percé en fonction du nombre de capteurs photo à caser en façade.

Cette fuite confirme également que Samsung n’en a pas terminé avec la prise jack, qui demeure bel et bien présente sur la tranche inférieure. L'absence de lecteur d'empreintes digitales au dos laisse penser que Samsung va l'intégrer sous l'écran.

Samsung devrait ajouter au catalogue un Galaxy S10E plus abordable, qui se contenterait de deux appareils photo au dos et d’un capteur en façade dans son trou (lire : Les trois Galaxy S10 en image un mois avant leur annonce). On a aussi appris hier que ces smartphones comprendrait un portefeuille de cryptomonnaies, parce que après tout pourquoi pas.

Beaucoup attendent de l’événement Unpacked la présentation complète du Galaxy F, premier smartphone « pliable » de Samsung qui coûtera sans doute bonbon.

Meizu a-t-il présenté hier un smartphone qui efface tous les connecteurs et les trous de son châssis, que Vivo fait de même avec son Apex 2019. Il s'agit d'un produit plus proche de la démonstration technologique — le fabricant parle de concept — que d'un modèle en instance de commercialisation. Il sera montré plus en détails au Mobile World Congress le mois prochain.

Lors d'une conférence à Pékin, Vivo a présenté ce design dit "Super Unibody". D'abord, tous les boutons et connecteurs ont été supprimés, à l'exception d'une fine et étroite ouverture pour le micro à la base de l'écran.

Le châssis est intégralement recouvert d'un verre qui encadre l'écran d'une manière prononcée mais en conservant sa transparence, comme si le téléphone était contenu dans une goutte d'eau. Plutôt que des boutons latéraux, Vivo utilise des capteurs capacitifs et de pression sur certaines zones de la tranche, ainsi que l'a déjà fait HTC sur son U12+.

Pas de grille de haut parleur visible, l'audio est diffusé par les vibrations à travers l'écran. Pas de caméra non plus en façade pour les selfies, un parti pris assez radical qui entretient l'idée que ce téléphone ne sortira pas sous cette forme ou alors en série très limitée.

Pas de capteur d'empreinte visible non plus, ni devant, ni derrière. Il est intégré sous l'écran et Vivo laisse entendre qu'il fait mieux que tout le monde en le rendant fonctionnel sous « presque » toute la surface de l'écran. Plus besoin,de viser une zone bien précise.

Oppo et Xiaomi ont déjà annoncé qu'ils avaient pu agrandir cette zone qui, jusque-là, était circonscrite à l'équivalent de la taille d'un capteur physique. Vivo semble être parvenu à aller bien plus loin. Par ailleurs, d'un seul toucher sur l'écran on pourra déverrouiller son téléphone et ouvrir dans le même geste une app pour peu que son icône fasse partie d'une sélection de favorites.

À l'arrière de l'Apex 2019 se trouve une petite rangée de contacts, le MagPort qui fait le lien avec un câble pour la recharge et le transfert de données (il n'y a pas de compatibilité Qi). Plusieurs rumeurs par le passé ont parlé d'un Smart Connector qui arriverait sur l'iPhone, à la suite de l'iPad. Voilà à quoi cela aurait pu ressembler.

La partie photo au dos ne cherche pas à accumuler les capteurs, il y en a deux : 12 et 15 mpx et un flash. Sur les composants, ce téléphone ne mégote pas et il entend bien faire riche : Snapdragon 855 et modem 5G de Qualcomm, 12 Go de RAM et 256 Go de stockage.

Il y a un an, Bloomberg racontait qu'Apple avait espéré supprimer le port Lightning pour la recharge filaire des iPhone X mais qu'il était encore trop tôt pour aller aussi loin, à ce moment-là.

Le saviez-vous ? Depuis 2017, les développeurs ont la possibilité de déployer progressivement les mises à jour de leurs applications dans l’App Store. Cette option, qui concerne les utilisateurs ayant activé les mises à jour automatiques (Réglages > iTunes Store et App Store > Mises à jour), échelonne sur sept jours la diffusion des mises à jour. Voici la répartition avancée par Apple :

• Jour 1 : 1 % des utilisateurs reçoivent la mise à jour
• Jour 2 : 2 %
• Jour 3 : 5 %
• Jour 4 : 10 %
• Jour 5 : 20 %
• Jour 6 : 50 %
• Jour 7 : 100 %

Notez qu’à tout moment les utilisateurs peuvent forcer l’apparition des mises à jour déployées progressivement en se rendant dans l’App Store et en rafraîchissant la section Mises à jour.

David Smith a utilisé ce processus pour déployer un changement dans son application Podomètre++ dont il ne pouvait pas confirmer lui-même la fiabilité à 100 %. Comme le montre son graphique, la mise à jour progressive (courbe rouge) a bien été proposée graduellement aux utilisateurs, ce qui lui a permis de prendre connaissance de détails à peaufiner avant que la nouvelle version ne soit disponible à tous. Les développeurs peuvent d'ailleurs mettre en pause à tout moment le déploiement progressif s'ils constatent un problème.

En comparaison, le déploiement instantané (courbe bleue) est logiquement beaucoup plus rapide. En seulement deux jours, près de 80 % des utilisateurs ont obtenu la mise à jour. On constate néanmoins qu’elle n’a pas été déployée auprès de tous même après plusieurs jours. Cela s’explique sûrement en partie par l’option, côté utilisateur, qui empêche les mises à jour automatiques en l’absence de réseau Wi-Fi.

Enfin, il ne faut pas confondre le déploiement progressif de l’App Store avec le déploiement progressif côté serveur, une pratique notamment utilisée par Google et Facebook pour diffuser des changements graduellement et indépendamment des versions de leurs apps.

L'ouverture aujourd'hui du 46e festival d'Angoulême est l'occasion pour Apple de communiquer sur l'iPad Pro et son Pencil au service de la BD. Trois planches sont publiées dans l'édition du jour du Libé, spécial BD, chacune réalisée avec la tablette et le nouveau stylet.

Elles sont signées, par trois auteures, Gaëlle Hersent, Audrey Spiry et Virginie Augustin (laquelle avait déjà vu son travail utilisé pour une pub iPad il y a un an). Des planches dessinées avec Procreate pour la partie logicielle.

Apple a redonné ces derniers jours un coup de fouet à sa communication pour l'iPad Pro. Au travers d'une poignée de clips qui illustrent des usages bien précis de la tablette : création de présentations, de podcasts, passage au zéro papier, prise de notes, aménagement d'un espace intérieur… Dans certaines, Apple s'appuie sur des logiciels d'éditeurs tiers pour démontrer que l'on peut faire beaucoup de choses avec son iPad.

Intitulée "Can do. With iPad Pro" (elle n'est pas encore adaptée à la France), cette campagne a parmi ses attraits d'être conçue elle-même avec un iPad Pro, dixit Apple.

Ce qui s'annonce peut-être comme la naissance d'une série, ressemble à celle composée à ce jour de 33 petits clips rythmés qui expliquent comment utiliser au mieux les fonctions photo et vidéo de son iPhone. Des pubs apparues après le lancement de l'iPhone 7, poursuivies depuis, avec le parti pris de proposer un contenu plus orienté pratique que simple bla-bla marketing.

Les promotions chez les opérateurs mobiles ne s’arrêtent plus, y compris chez Sosh. La marque low-cost d’Orange vient de prolonger son forfait 20 Go à 9,99 €/mois pendant un an, au lieu de 19,99 €. L’offre, qui devait s’arrêter aujourd’hui, est finalement valable jusqu’au 1 février.

B&You et SFR RED proposent quant à eux 40 Go pour 10 €/mois, et ce y compris après la première année d’abonnement. Par contre, leur enveloppe de data en Europe est moins généreuse que Sosh (4 Go contre 20 Go) et leurs forfaits ne sont pas compatibles avec l’Apple Watch.

Free Mobile a pour sa part pérennisé son offre 60 Go à 8,99 €/mois, qui se convertit au bout de 12 mois en forfait 100 Go à 19,99 €.

Apple est en train de refaire toutes ses cartes pour les enrichir avec ses propres données. Un plan extrêmement ambitieux et des cartes effectivement enrichies, mais dont l’exécution reste jusque-là très lente. Quand le constructeur avait annoncé la nouvelle en juin dernier, c’était pour se concentrer au lancement sur le nord de la Californie, autour de San Francisco et de la Silicon Valley. Ces nouvelles cartes sont apparues à l’automne, effectivement limitées à une petite région dans le monde, et on attendait la suite.

Un lecteur nous signale ce matin que le sud de la Californie est désormais également couvert par ces nouvelles cartes enrichies. Et en effet, toute la zone de San Diego à Los Angeles est recouverte d’une végétation abondante et précise, le signe qui permet de savoir sans se tromper qu’Apple a déployé ses cartes de nouvelle génération. A priori, seule la Californie est concernée, les États voisins conservent leur végétation rectangulaire et moins définie.

Espérons que la Californie servait de terrain d’essai pour Apple et que le déploiement va s’accélérer désormais. Le constructeur a prévu de poursuivre ce travail pour les États-Unis tout au long de l’année à venir, mais aucune nouvelle pour le reste du monde.